Super content pour le club et surtout pour Jacques Rousselot.
Je suis très fier d'avoir affiché dans la salle d'attente de mon bureau à la Mairie de Tomblaine le texte ci-dessous, ainsi que ce tableau de Norman Rockwell, intitulé "notre problème à tous" (The Problème We all Live With) qui représentait Ruby Bridges, cette petite fille noire, première à avoir été intégrée dans une école pour enfants blancs aux États Unis. Prenez le temps de lire cette terrible histoire jusqu'au bout, le sujet reste d'actualité de par le monde, le problème est universel et nous concerne tous.
Ruby BRIDGES
Ruby Bridges Hall, née le 8 septembre 1954 à Tylertown au Mississippi, est une enfant afro-américaine connue pour être la première enfant noire à intégrer une école pour enfants blancs en 1960, à l'époque où la ségrégation prend officiellement fin aux États-Unis. Pour son premier jour d'école, elle fut escortée par la police car de nombreux manifestants racistes et favorables à la ségrégation protestaient contre le fait qu'une enfant « de couleur » aille dans une école « de blancs ». Son image est passée à la postérité grâce au tableau de Norman Rockwell: Notre problème à tous (The Problem We All Live With).
Son intégration scolaire
Ruby Bridges s'installa avec ses parents à La Nouvelle Orléans (Louisiane), à l'âge de 6 ans, en 1960. À cette date, ses parents répondirent à un appel à volontaires pour que leur fille participe à l'intégration dans le nouveau système scolaire mis en place à La Nouvelle-Orléans. Elle devint ainsi la première enfant noire à aller à la William Frantz Elementary School et la première enfant afro-américaine à fréquenter une école blanche, alors que pendant les années 1960 la ségrégation scolaire était toujours une norme très répandue dans une bonne partie des États-Unis.
À cause de l'opposition des Blancs à intégrer les Noirs, elle eut besoin de protection pour entrer à l'école. Mais, les officiers de police locaux et de l'État refusant de la protéger, elle fut accompagnée par des marshall fédéraux. Sa mère l'avait prévenue qu'il « pourrait y avoir beaucoup de gens près de cette nouvelle école » : en effet, elle fut accueillie par une foule hurlante de parents blancs racistes qu'elle devrait traverser pour arriver à l'école. Comme elle le décrit, « de la voiture, je pouvais voir la foule, mais puisque je vivais à La Nouvelle-Orléans, je croyais que c'était Mardi Gras. Il y avait une grande foule de personnes près de l'école. Elles lançaient des choses et me criaient dessus, mais ce genre de choses arrivait à La Nouvelle-Orléans au Mardi Gras ».
La scène a été commémorée par Norman Rockwell dans un tableau intitulé Notre problème à tous (The Problem We All Live With).
Quand Ruby arriva à l'école, des parents blancs entrèrent aussi mais sortirent leurs enfants de l'établissement. Tous les enseignants, à l'exception d'une professeur blanche, refusèrent également de faire cours s'il y avait une enfant noire dans l'école. Seule Barbara Henry, qui était originaire de Boston, au Massachusetts, accepta de faire cours à Ruby. Pendant un an, Mme Henry enseigna donc uniquement à Ruby, comme si elle enseignait à toute une classe.
Les suites
Son père perdit son emploi et ses grands-parents, agriculteurs du Mississippi, furent renvoyés de leurs terres.
Ruby Bridges, aujourd'hui Ruby Bridges Hall, vit toujours à La Nouvelle-Orléans. Elle est la porte-parole de la Ruby Bridges Foundation, fondée en 1999 pour promouvoir « les valeurs de la tolérance, du respect et de l'appréciation des différences ». Décrivant la mission de cette association, elle dit : « le racisme est une maladie d'adulte et nous devons cesser d'utiliser nos enfants pour la propager ».
Le 27 octobre 2006, la municipalité d'Alameda, en Californie, a ouvert une école élémentaire portant le nom de Ruby Bridges et a fait une déclaration en son honneur.
Elle a été reçue par le président Obama à la Maison-Blanche le 15 juillet 2011.
C'est le nom du petit document que nous adressons aux parents, un peu comme un compte-rendu d'activités, comme une évaluation, à la fin de chaque trimestre.
Il s'agit de montrer ce que font les enfants dans le cadre de nos activités du temps Péri-scolaire. Les photos parlent d'elles-mêmes.
Sport, culture, arts, la socialisation par le jeux, bricolage, activités scientifiques, Langue des Signes Française, les premiers gestes qui sauvent, apprendre le code de la route en vélo, etc. Sous la direction de Patou Herman, que du plaisir, de l'épanouissement, de la découverte. 96% des enfants scolarisés à Tomblaine en écoles élémentaires fréquentent ces temps d'activités Péri-scolaires.
Les dimanches se suivent et se ressemblent...
Avec toute l'actualité tomblainoise, que je vous relate sur mon site et sur facebook (regardez tout ce qui s'est encore passé vendredi, samedi et dimanche), il est assez étonnant que la presse quotidienne n'en dise pas un mot le dimanche, comme si Tomblaine n'existait pas !
Bon, heureusement, mon site herveferon.frest, lui, très lu...
En cette période caniculaire, chacun aura compris, par exemple, que brancher un ventilateur ne consiste qu'à brasser du vent.
A St Max, ville voisine, rien de spécial n'a été fait pour prévenir des effets de la canicule. Rien de rien.
A Tomblaine, je vous ai décris tout ce que nous avons mis en œuvre, les points d'eau, les douchettes, les rafraichisseurs d'air, les climatiseurs dans les écoles et bâtiments publics, le plan canicule- personnes âgées, la mobilisation des jeunes...
Sur ce sujet, la presse locale a consacré un bel article pour raconter tout ce qui s'est passé à St Max et aucun article pour Tomblaine... Mais, c'est tout un art que de parler longtemps de rien....
Troisième audition en quelques jours pour de très nombreux musiciens en herbe, élèves de l'école de musique tomblainoise Tempo.
Les petits de l'éveil musical, les élèves de l'orchestre à l'école, ceux de la classe de chant, les instrumentistes adolescents ou adultes, que d'effevescence !
Quel travail ! Education populaire, l'apprentissage de la musique accessible à tous...
J'ai donné les diplômes de fin d'année avec Mireille Daffara, Conseillère Municipale.
Un grand bravo aux professeurs et à Thierry Brachet, président de
Tempo !
Après une journée marathon, je suis allé à l'apéritif de l'association des donneurs de sang au GSAT, club de football local.
En présence des deux Présidentes Nazha Ajeddig pour les donneurs de sang et Hinde Magada (de retour d'une journée au Parc Walligator avec 40 jeunes), petit moment de convivialité...
Puis, nous sommes allés avec plusieurs adjoints au Maire, rue jean Ferrat. Très sympa, comme toujours.
Rue Jean Ferrat, c'est au moins la troisième année que cette rencontre a lieu, tout le monde se connait, se parle et s'apprécie. Finalement dans cet énorme, mais nouveau quartier qu'est la ZAC, c'est le troisième repas des voisins auquel nous participons en quelques semaines. Et c'est réjouissant de constater que ces repas des voisins sont véritablement fondateurs d'une vraie vie de quartier.
Premier des séjours de vacances organisés par le CCAS de la Ville de Tomblaine, 32 personnes âgées sont parties très tôt samedi matin en direction de Vic sur Cere en Auvergne. Le bus était, bien sûr, climatisé, mais, au cas où, nos anciens avaient prévu des éventails...
Le voyage s'est bien passé, et quand à 20 km de l'arrivée, des bouchons ont ralenti la circulation, la solution la plus sage était de s'arrêter au restaurant...
Arrivé à l'hôtel tout ce petit monde s'est installé dans les chambres et nous envoie cette photo prise devant la Maison des eaux minérales de Vic sur Cere. Bonnes vacances à tous !
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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