Demande de précisions sur l’appel à
projet mis en place en soutien
aux médias de proximité
Question écrite à la Ministre de la Culture
M. Hervé Féron attire l’attention de
Mme la Ministre de la Culture et de
la Communication sur la situation
des médias citoyens et de proximité.
Considérés comme des acteurs essentiels de
la démocratie, ces médias
contribuent au jour le jour à tisser
le lien social permettant le vivre ensemble
sur notre territoire.
C’est tout particulièrement le cas des
radios du réseau France Bleu, qui grâce à leur
couverture extensive du territoire
constituent un élément structurant
du service public de la radio,
et fournissent quotidiennement
aux auditeurs à une information locale de qualité.
Or, comme le notait M. Jérôme Bouvier
dans son rapport publié en juin 2013,
« malgré le savoir-faire et l’engagement de
celles et ceux qui consacrent toute leur énergie
à les faire vivre, aucun de ces médias ne pourrait
exister sans soutien public.»
En effet, la vocation même des médias citoyens
et de proximité, qui remplissent une véritable
mission de communication sociale,
les place en dehors du secteur marchand
et leur interdit de raisonner en termes
de rentabilité pure.
Convaincue de la nécessité de leur développement
dans les territoires, mais aussi pour
leur permettre d’être mieux reconnus
en tant que médias à part entière,
Mme la Ministre a annoncé le 14 avril dernier
la mise en place d’un fonds
à destination des médias citoyens et
de proximité pour financer des appels à projet.
Doté d’un million d’euros,
ce fonds constitue une aide sans précédent
qui devra être disponible dès cet été.
M. Hervé Féron, qui a déjà eu l’occasion de
souligner la nécessité d’octroyer davantage
de financements au réseau France Bleu-
dont les moyens réduits depuis 2011
ont mené à la suppression de locaux -
souhaiterait savoir dans quelle mesure les radios
du réseau France Bleu pourront en bénéficier.
Je suis vraiment désolé mais même si la presse n’a pas voulu relayer l’avis que je donnais, je crois que j’ai eu raison à tous les épisodes du feuilleton de la pelouse du stade Marcel Picot.
Premier épisode : il s’agissait de changer la pelouse naturelle pour la transformer en pelouse synthétique. Je disais à l’époque que ça n’était pas souhaitable, les qualités de ces pelouses n’étaient pas démontrées, et on n’était pas sûr à terme que cela soit autorisé dans un championnat où la plupart des clubs étaient restés à la pelouse naturelle. Le stade a été malgré cela doté d’une pelouse synthétique. J’avais aussi expliqué que l’entretien d’une pelouse synthétique est très coûteux et que les économies n’étaient pas démontrées en comparaison du coût d’entretien d’une pelouse naturelle.
Deuxième épisode : depuis l’installation de cette pelouse synthétique, on a remarqué beaucoup plus de blessures dans l’effectif de l’AS Nancy Lorraine. On ne peut pas dire non plus que le club nancéien soit particulièrement performant à domicile, cela pose au moins question.
Troisième épisode : lorsque Jacques Rousselot, Président de l’AS Nancy Lorraine, il y a quelques mois, a dit qu’il était souhaitable de changer cette pelouse pour la remplacer par une pelouse hybride, d’autant plus que la pelouse synthétique arrivait au bout de ses 5 années de garantie, nous avions eu la surprise de lire dans la presse que Monsieur Pensalfini annonçait qu’il n’était pas question que le Grand Nancy participe au financement d’une pelouse hybride. Je m’étais exprimé pour dire que les Conseillers Communautaires auraient aimé que cela soit porté à la discussion, or cela n’a jamais été le cas. Ni en commission, ni en Conseil de Communauté, nous n’avons étudié la possibilité de participation financière de la CUGN à l’installation d’une pelouse hybride. Ce sont les méthodes de Monsieur Pensalfini que je déplore. J’avais dit alors que sur un investissement 2015 de 154,7 M€, il ne me semblait pas scandaleux que la Communauté Urbaine participe pour tout ou partie du 1,3 M€ pour permettre que, grâce à l’AS Nancy Lorraine, le Grand Nancy continue à rayonner. J’y ajoutais que l’AS Nancy Lorraine était redevenu un club formateur avec une des équipes les plus jeunes de Ligue 2. Il est à noter que sur ma demande exprimée de participation de la CUGN, je n’ai obtenu aucune réponse.
Quatrième épisode : on apprend que, suite à un rapport demandé par la Ligue de Football Professionnel et l’UCPF, deux anciens dirigeants du football professionnels, parmi leurs propositions, suggèrent d’interdire les terrains synthétiques. C’est là que toujours Monsieur Pensalfini s’exprime dans la presse pour donner sa décision très personnelle puisqu’il n’a toujours pas organisé la moindre discussion à ce sujet auprès du Conseil de Communauté. On appelle ça de l’autocratie. Il a décidé que la CUGN n’envisageait pas de se pencher sur la question de la pelouse du stade Marcel Picot avant 2018. Etant donné le risque d’interdiction du synthétique, il envisage peut-être de repousser les travaux prévus sur le PC de Sécurité à hauteur de 600.000 euros (le Conseil de Communauté n’est toujours pas au courant de ce projet et encore moins le Maire de la Ville de Tomblaine alors qu’il s’agit de normes de sécurité) mais il ne dit pas précisément pour quel type d’intervention au niveau de la CUGN. Il continue à affirmer la candidature nancéienne pour la Coupe du monde féminine 2019 alors que le Président Rossinot a promis de revenir devant le Conseil de Communauté pour un vote de validation quand on aurait connaissance des conditions financières (ce que l’on attend toujours). Monsieur Pensalfini ne tient pas le même discours que précédemment, il dit maintenant que la Communauté Urbaine se doit d’investir dans la pelouse car elle est propriétaire. Il ajoute, et c’est nouveau, qu’il faudrait discuter de la répartition de cette somme avec les instances du football, les collectivités et le club. Il envisage de demander une aide à la FFF et à la LFP. Soit il est naïf, soit il se moque de nous. Il affirme sans le démontrer (car il serait bien en difficulté que l’aide de la Communauté Urbaine (1,5 M€) à l’ASNL se situe bien au-dessus de la moyenne des subventions accordées par les agglomérations aux clubs en Ligue 2 et en Ligue 1). Bref, il n’y a qu’une conclusion à tirer : les responsabilités ne sont pas assumées.
Mardi 14 avril, les Jeunes Socialistes de Meurthe-et-Moselle ont visité l'Assemblée Nationale à l'invitation d'Hervé Féron qui a joué le rôle de guide pour l'occasion.
C'était une journée très agréable et à un moment au cours de la visite, les jeunes du MJS ont rencontré Jean-Marc Ayrault qui est venu les saluer. Ils ont pu échanger avec lui et Jean-Marc Ayrault s'est même prêté au jeu de la photo.
Cher(e)s ami(e)s,
Tous les ans, les Palestiniens célèbrent le 30 mars la Journée de la Terre en mémoire de 6 des leurs tués par l'armée israélienne en 1976 alors qu'ils manifestaient contre les confiscations. Cette journée est le symbole de la lutte du peuple palestinien pour la défense de sa terre.
Nos amis de Wadi Fukin viennent de nous envoyer des photos de la manifestation qu'ils ont organisée à cette occasion. Ils avaient décidé de planter des oliviers sur des terres menacées de confiscation. L'armée israélienne a riposté par des tirs de gaz, l'arrachage des oliviers et la confiscation de matériel agricole.
Voilà la seule réponse de l'occupant à ceux qui manifestent pacifiquement pour leurs droits.
il est temps que la communauté internationale et la France en particulier dise stop à l'impunité d'Israël.
Guy Perrier, AFPS de Lorraine Sud
Gérald Dahan l'annonce lui-même sur son profil Facebook.
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Hervé Féron était invité ce vendredi 10 avril sur le plateau du 19/20 de France 3 Lorraine afin de présenter le programme de la 24ème édition du Festival "Aux Actes Citoyens" qui se tiendra du 23 au 30 mai prochain.
Vous pouvez retrouver son interview dans la vidéo ci-dessous.
19/20 France 3 Lorraine du 10 avril 2015... par herveferon
Vendredi après le Conseil de Communauté Urbaine, Hervé Féron était sur le plateau du journal de France 3 pour présenter le Festival « Aux Actes Citoyens » puis il est allé rejoindre l’Assemblée Générale des Foyers Ruraux de Meurthe-et-Moselle à Royaumeix. Comme chaque année, cette Assemblée Générale a été l’occasion de rendre compte de travaux de qualité, de rappeler l’importance de l’éducation populaire et de la vie associative, et de dire les inquiétudes qui subsistent quant à la reconnaissance, au financement de l’éducation populaire, les bâtons dans les roues quant au statut des animateurs de centres de vacances ou encore quant à l’habilitation des Foyer Ruraux pour la pratique du sport en milieu rural. Hervé Féron connaît bien tous ces sujets qu’il suit de près à l’Assemblée Nationale. La soirée qui a suivi a été de grande qualité, les Foyers Ruraux de Meurthe-et-Moselle savent mener des combats avec le plus grand sérieux et garder en tête que la fête et la convivialité doivent rester des priorités.
Samedi à 11h30 était inaugurée à l’Espace Jean Jaurès de Tomblaine une très belle exposition « L’histoire du mouvement ouvrier français », réalisée par un collectif mosellan « Y a personne pour leur dire ». C’est un véritable travail historique et militant qui a été réalisé là et ce collectif se nomme ainsi parce qu’il pense que malheureusement, l’Education Nationale ne propose pas cette histoire-là aux plus jeunes pendant la scolarité. A l’occasion de ce vernissage, la Chorale des Sans Nom a fait une très belle prestation, un vrai moment d’émotion, et puis le verre de l’amitié a été partagé, là encore de façon festive avec le groupe Kalkanos.
Dimanche, le Député assistait au gala de Tomblaine Danse, de qualité exceptionnelle. Chaque année, c’est encore mieux. Les petites filles sont belles, pétillantes, spontanées, les plus grandes filles sont belles, moins spontanées mais avec une maîtrise technique et un maintien qui démontrent toute la qualité du travail de la professeure Sylvie Kurt. C’est de l’éducation populaire mais c’est aussi de l’art, c’est magique !
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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