Hier soir, Hervé FERON a participé à l’inauguration de la grande salle du centre des Ecraignes à Villers-lès-Nancy, entièrement rénovée après 14 mois de travaux en 2010-2011.
Pascal JACQUEMIN, maire de Villers, a insisté sur le processus participatif qui a conduit au choix de Jean FERRAT pour la dénomination de la salle, ainsi que la censure dont a été victime l’artiste à l’époque de l’ORTF. L’inauguration coïncidait avec le 3ème anniversaire de la disparition du chanteur.
Hervé FERON a enchaîné derrière le maire de Villers, rappelant les qualités de Jean FERRAT et sa contribution à la chanson française. Il a ensuite dévoilé la traditionnelle plaque aux côtés de Pascal JACQUEMIN et de Mathieu KLEIN, vice-président du Conseil général délégué à l’Education et à l’Innovation Citoyenne.
La soirée s’est achevée par une démonstration saisissante de live painting avec la reproduction en peinture (et en musique) du portrait de Jean FERRAT.
Mercredi midi, Hervé FERON a participé au déjeuner du groupe d'amitié France-Pérou en présence de l'ambassadeur du Pérou en France, Madame Cristina LABOUREIX.
Dans le prolongement du portrait de Pascal Popelin dressé par Libération, vous trouverez ci-dessous un article de la revue Politis publié fin février. Une lecture intéressante qui rappelle les situations de cumul excessives non prises en compte par le futur projet de loi.
Libération consacre un article à Pascal Popelin, député socialiste opposé à une interdiction stricte du cumul des mandats.
Retrouvez l'intégralité de cet article ci-dessous.
Il ne tient pas à faire de cette bataille-là son «unique identifiant». D’ailleurs, c’est «loin d’être le souci central» des habitants de sa circonscription, la 12e de Seine-Saint-Denis, qui jamais sur les marchés ne le traitent d’affreux cumulard. Et puis, il y a tant d’autres sujets qui l’intéressent, «comme la sécurité, une attente forte, notamment des quartiers populaires».
N’empêche. Sur cette question du non-cumul des mandats, dont le projet de loi devrait être présenté le 20 mars en conseil des ministres, Pascal Popelin est très remonté. Lui défend les doubles casquettes, en fait un «principe», hyper assumé. «Ce n’est pas l’affaire d’une vilaine caste qui s’accroche à ses privilèges.» Si le gouvernement interdit de combiner un mandat parlementaire avec celui d’exécutif local, il prédit des députés «sans poids, encore plus vassalisés».
Aucune déco dans son bureau, logé dans les anciens appartements de la questure: seules deux photos au mur - le portrait officiel de François Hollande et une vue de l’hémicycle. Lui-même, en costume-cravate ton passe-muraille, est tout ce qu’il y a de plus sobre. Mais quand il s’emballe, le voilà qui agite les bras, s’empare d’un stylo, fait mine de crayonner, enchaîne les anecdotes, gobe un bonbon menthe, repart.
Il cumule depuis peu son siège de député et son poste de premier adjoint au maire de Livry-Gargan. Après une première tentative pour conquérir la circonscription en 1993 et un autre essai malheureux en 2007, cette fois, il a fait tomber Eric Raoult, maire (UMP) du Raincy.
Du coup, il moque ces pontes socialistes fraîchement convertis aux vertus du mandat unique «après avoir cumulé durant trente ans». Solférino en prend aussi pour son grade: «Au départ, c’est un engagement du PS, qui n’est pas à une bêtise près.» Le primodéputé plaide, lui, pour limiter à deux mandats - dont un exécutif - ou fonctions en découlant. Il dira aussi qu’il veut bien aller par étapes vers le mandat unique à condition de s’attaquer de pair à d’autres réformes: renforcement des pouvoirs du Parlement, autonomie des collectivités locales, statut de l’élu. Mais en l’état, «on ne me fera pas voter un truc pareil!» Et Popelin prévient le gouvernement qu’il «ne devrait pas mésestimer» le risque d’un revers sur ce texte.
Drôlement sûr de lui, le nouveau, pas du genre à se laisser impressionner. C’est qu’à 46 ans, il a longtemps grenouillé dans le bain de Solférino. Fabiusien, il a été négociateur pour les intérêts électoraux de son courant, autant dire qu’il a tâté de tous les caciques. Bruno Le Roux, patron du groupe PS, a guidé ses premiers pas à l’Assemblée cet été; les deux élus du 93 se connaissent depuis un bail, partagent souvent une bonne table ou un bon cru. Popelin l’a appelé l’été 2011 pour se mettre au service de la campagne de Hollande et a organisé pour le candidat une petite trentaine de déplacements. Il dit aussi «mon ami Manuel Valls» ou «mon ami Harlem Désir».
A lire aussi les précédents portraits de notre série «Les nouveaux visages de l’Assemblée»
Lorsqu’il était étudiant à Sciences-Po, c’est vers Laurent Fabius qu’il s’est tourné: «Il incarnait la modernité.» On est en 1985, il a 18 ans et écrit au culot au Premier ministre pour l’inviter rue Saint-Guillaume. Fabius envoie un ministre mais quand il redeviendra député, recrutera Popelin comme «petite main». Dans les couloirs du Palais Bourbon, le jeune homme croise Bérégovoy, Lang, Mexandeau. Bartolone surtout. L’homme fort du PS de Seine-Saint-Denis, où vit Popelin, est «un ami, un partenaire politique, un grand frère» avec lequel il s’engueule, se rabiboche: «On a tous les deux un caractère trempé.» Popelin travaille vingt ans avec lui au département. Comme collaborateur au groupe PS, puis conseiller général élu en 1993 et vice-président.
Le local, c’est son moteur politique, dit-il: «La proximité plutôt que les sunlights. Je prends mal la lumière.» Il dit pourtant son «plaisir formidable» à siéger. Popelin a adoré être rapporteur, en février, sur la réforme des modes de scrutins départementaux et sait gré au président de la Commission des Lois, Jean-Jacques Urvoas, de faire monter en première ligne les nouveaux du groupe. Mais s’il devait choisir - et il «détesterait avoir à le faire» -, ce père de deux filles retournerait sans doute à l’action locale, «d’où je viens». En attendant une application du non-cumul en 2017, Popelin assure jongler facilement entre ses plannings de député et de maire-adjoint, s’agace à l’idée qu’un cumulard déserterait forcément l’Assemblée. Il a beau assurer qu’il regarde «avec méfiance, voire avec mépris» les classements des députés selon leur activité et leur temps de présence, il ne manque pas de faire remarquer, l’air détaché, qu’il se trouve plutôt dans le peloton de tête…
Source : http://www.liberation.fr/politiques/2013/03/12/pascal-popelin-le-cumul-assume_887257.
Dans son édition d'aujourd'hui, l'Est Républicain revient sur le vernissage samedi dernier de l'exposition photographique, organisée par l'association Aux Actes Citoyens.
L'Assemblée Nationale examine depuis le début de la semaine le Projet de Loi portant Refondation de l'Ecole.
Hier en fin d'après-midi, Hervé FERON est intervenu dans la discussion générale sur ce texte. A cette occasion, il est revenu sur les principales mesures prévues par le projet de loi qui permettront, avec l'aide des moyens supplémentaires dégagés, de reconstruire un système éducatif à même de favoriser la réussite et le développement de tous les élèves.
Vous pouvez voir l'intégralité de son intervention dans la vidéo ci-dessous.
Intervention d'Hervé FERON dans la discussion... par herveferon
50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.
Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !
Dossier n° 11 – 12 mars 2013
SECURITE : IL EST TROP TARD POUR ARRIVER EN AVANCE !
Pendant ce temps-là, il a soutenu les politiques sarkozistes de suppressions de postes de policiers, de suppression de la police de proximité, de fermetures de postes et de commissariats de police. Il a aussi utilisé sa police municipale pour servir ses opérations pour sa communication personnelle, où pour remplir les caisses de la ville (vidées par ailleurs par sa gestion dispendieuse des finances publiques) avec le fruit des contraventions que les banlieusards lui paient parce qu'ils n'ont pas trouvé de transport en commun et que les parkings gérés par les amis des amis coutent cher.
Aujourd'hui, à l'approche d'élections dont il redoute terriblement les résultats, il cherche à paraître au-dessus des autres, comme s'il prenait ses responsabilités, comme s'il avait la légitimité. Mais Rossinot n'est pas le roi :
- il est (encore) le maire de Nancy, il aurait dû s'occuper de la sécurité dans sa ville. Aujourd'hui c'est très tard.- il est (encore) président de la CUGN et il n'a ni compétence ni légitimité à organiser la sécurité sur les autres communes que la sienne où les maires ne l'ont pas attendu pour travailler...
Le seul vrai danger quand vous marchez tard dans la rue, ne viendrait-il pas de cette droite qui se désintéresse tant de vous, mais qui ravive les peurs, qui oppose les citoyens, qui redécouvre l'insécurité chaque fois que les élections reviennent, comme pour vous dire "faites-nous confiance, nous nous occuperons de vous...?"
Voilà une bonne raison de plus pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 !
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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