Agir pour vous et avec vous

Jour : 11 mars 2018

C’était un match à risques pour l’AS PTT Nancy-Tomblaine, leader de Nationale 3, puisque nos basketteuses recevaient Aubervilliers, équipe qui, elle, jouait sa survie. Le match fut serré jusqu’à la fin, les joueuses d’Aubervilliers combatives ont tout donné pour éviter la relégation. Les tomblainoises avaient peut-être l’excuse d’être en manque de repères dans un gymnase (Martigny) inhabituel pour elles, mais elles ont su bien résister et l’ont emporté sur le score de 49-41.
Xavier Riondet a su faire tourner son équipe et comme il bénéficie d’un banc de qualité, les remplaçantes ont été précieuses.
Quelle différence avec le coaching d’Aubervilliers ! L’entraineur, insupportable, hurle tout le temps, je ne pense pas qu’il ait aidé particulièrement ses joueuses…

C’était un match à risques pour l’AS PTT Nancy-Tomblaine, leader de Nationale 3, puisque nos basketteuses recevaient Aubervilliers, équipe qui, elle, jouait sa survie. Le match fut serré jusqu’à la fin, les joueuses d’Aubervilliers combatives ont tout donné pour éviter la relégation. Les tomblainoises avaient peut-être l’excuse d’être en manque de repères dans un gymnase (Martigny) inhabituel pour elles, mais elles ont su bien résister et l’ont emporté sur le score de 49-41.
Xavier Riondet a su faire tourner son équipe et comme il bénéficie d’un banc de qualité, les remplaçantes ont été précieuses.
Quelle différence avec le coaching d’Aubervilliers ! L’entraineur, insupportable, hurle tout le temps, je ne pense pas qu’il ait aidé particulièrement ses joueuses…

Ce samedi avaient lieu à Tomblaine les finales régionales des Trophées de la Robotique. Et je vous avais dit que ça allait être exceptionnel ! Organisés par les Francas de Meurthe et Moselle, Fédération d’Education Populaire qui est créative, innovante et démontre sans cesse que l’Education Populaire, pour être vivante, doit être empreinte de modernité. Et pour le coup, c’était le cas !

Il y avait à voir ou à essayer pour tout le monde, à tous âges et partout. Dans la cour de l’Espace Jean Jaurès, un circuit de voitures télécommandées. A l’intérieur de l’Espace Jean Jaurès une énorme cage d’essai pour piloter des drones.

Un peu plus loin des postes de pilotage virtuel avec visio- casques…

A l’entrée de l’Espace Jean Jaurès, un vrai studio de télévision, les journalistes ont 10 à 12 ans, ils viennent de Vandoeuvre et St Max. Ils m’ont interviewé comme de vrais pros !
Il y a des stands partout, vous pouvez jouer, vous essayer à utiliser une imprimante 3D, il y a un tapis de jeu avec un robot à piloter…pour enfants à partir de 3 ans !

Dans les stands, des jeunes, mécaniciens assurent les dernières révisions du robot de leur équipe avant le match…

Ce qui m’enthousiasme le plus, c’est que l’ensemble de la manifestation est encadrée par de nombreux animateurs très jeunes formés par les Francas… bon état d’esprit, souriants, accueillants, sympas… Une grande partie de ces jeunes responsables sont tomblainois, on les reconnaît, ils ont un tee-shirt rouge estampillé Francas. Moi, le maire, je suis fier. Fier de ces jeunes et fier aussi que tout ça se passe à Tomblaine. Et d’ailleurs les Francas ont annoncé hier que l’an prochain ces finales régionales se dérouleraient à nouveau à Tomblaine, tant l’Espace Jean Jaurès se prête à ce type de manifestation par son originalité, il est esthétique et fonctionnel.

On continue la visite, voilà un vrai studio de radio, je suis interviewé par des jeunes pêchus et qui ont des idées, alors comme ils ont le maire sous la main, ils ne manquent pas de les lui suggérer, ça c’est de la formation à la citoyenneté active !

Et puis dans la salle Léo Ferré, face à La tribune et aux supporters, et sous les caméras (puisque les matches sont retransmis sur écran géant) les équipes s’affrontent dans une compétition très sérieuse, avec des arbitres en tenue, les robots sont télécommandés et doivent réaliser un certains nombre de missions imposées en un temps limité…
C’est spectaculaire, c’est joyeux. Je suis emballé. Dans mon premier article, j’avais fait quelques erreurs : la finale nationale n’aura pas lieu à Paris, mais à St Quentin, je ne sais pas où aura lieu la finale européenne. Et ce sont les deux équipes finalistes, plus celle qui a obtenu le prix du jury qui iront à la finale nationale.

J’ai remis le prix du jury à une équipe de Mercy le Bas, composée de quatre jeunes filles et qui s’appelle « ENG-C ». Elles m’ont expliqué que le nom de leur équipe, c’était les initiales de leurs prénoms ! Elles ont réalisé elles-même leur robot, seule la courroie avait été réalisée par quelqu’un d’autre. Et la seule chose qui n’a pas bien fonctionné, c’est…la courroie !
Quel bon moment ! Le seul bémol, serait que pour une manifestation d’une telle qualité, il faut qu’on s’améliore au niveau de la communication. On doit arriver à avoir beaucoup plus d’équipes participantes. Pour l’année prochaine, il faut donc mobiliser des jeunes, en amont, pour qu’ils fabriquent leurs robots, il faut les y sensibiliser, voire les accompagner. A l’arrivée, ils gagneront de toutes façons, tant ils auront du bonheur à participer et apprendre !

Ce samedi avaient lieu à Tomblaine les finales régionales des Trophées de la Robotique. Et je vous avais dit que ça allait être exceptionnel ! Organisés par les Francas de Meurthe et Moselle, Fédération d’Education Populaire qui est créative, innovante et démontre sans cesse que l’Education Populaire, pour être vivante, doit être empreinte de modernité. Et pour le coup, c’était le cas !

Il y avait à voir ou à essayer pour tout le monde, à tous âges et partout. Dans la cour de l’Espace Jean Jaurès, un circuit de voitures télécommandées. A l’intérieur de l’Espace Jean Jaurès une énorme cage d’essai pour piloter des drones.

Un peu plus loin des postes de pilotage virtuel avec visio- casques…

A l’entrée de l’Espace Jean Jaurès, un vrai studio de télévision, les journalistes ont 10 à 12 ans, ils viennent de Vandoeuvre et St Max. Ils m’ont interviewé comme de vrais pros !
Il y a des stands partout, vous pouvez jouer, vous essayer à utiliser une imprimante 3D, il y a un tapis de jeu avec un robot à piloter…pour enfants à partir de 3 ans !

Dans les stands, des jeunes, mécaniciens assurent les dernières révisions du robot de leur équipe avant le match…

Ce qui m’enthousiasme le plus, c’est que l’ensemble de la manifestation est encadrée par de nombreux animateurs très jeunes formés par les Francas… bon état d’esprit, souriants, accueillants, sympas… Une grande partie de ces jeunes responsables sont tomblainois, on les reconnaît, ils ont un tee-shirt rouge estampillé Francas. Moi, le maire, je suis fier. Fier de ces jeunes et fier aussi que tout ça se passe à Tomblaine. Et d’ailleurs les Francas ont annoncé hier que l’an prochain ces finales régionales se dérouleraient à nouveau à Tomblaine, tant l’Espace Jean Jaurès se prête à ce type de manifestation par son originalité, il est esthétique et fonctionnel.

On continue la visite, voilà un vrai studio de radio, je suis interviewé par des jeunes pêchus et qui ont des idées, alors comme ils ont le maire sous la main, ils ne manquent pas de les lui suggérer, ça c’est de la formation à la citoyenneté active !

Et puis dans la salle Léo Ferré, face à La tribune et aux supporters, et sous les caméras (puisque les matches sont retransmis sur écran géant) les équipes s’affrontent dans une compétition très sérieuse, avec des arbitres en tenue, les robots sont télécommandés et doivent réaliser un certains nombre de missions imposées en un temps limité…
C’est spectaculaire, c’est joyeux. Je suis emballé. Dans mon premier article, j’avais fait quelques erreurs : la finale nationale n’aura pas lieu à Paris, mais à St Quentin, je ne sais pas où aura lieu la finale européenne. Et ce sont les deux équipes finalistes, plus celle qui a obtenu le prix du jury qui iront à la finale nationale.

J’ai remis le prix du jury à une équipe de Mercy le Bas, composée de quatre jeunes filles et qui s’appelle « ENG-C ». Elles m’ont expliqué que le nom de leur équipe, c’était les initiales de leurs prénoms ! Elles ont réalisé elles-même leur robot, seule la courroie avait été réalisée par quelqu’un d’autre. Et la seule chose qui n’a pas bien fonctionné, c’est…la courroie !
Quel bon moment ! Le seul bémol, serait que pour une manifestation d’une telle qualité, il faut qu’on s’améliore au niveau de la communication. On doit arriver à avoir beaucoup plus d’équipes participantes. Pour l’année prochaine, il faut donc mobiliser des jeunes, en amont, pour qu’ils fabriquent leurs robots, il faut les y sensibiliser, voire les accompagner. A l’arrivée, ils gagneront de toutes façons, tant ils auront du bonheur à participer et apprendre !