Hervé FERON

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Triste conception de la démocratie

Quand Eric Pensalfini revient faire son numéro dans l’Est Républicain pour annoncer qu’il discute avec Jacques Rousselot de la vente du Stade Marcel Picot, c’est une véritable imposture. Il n’a aucune légitimité. Cette discussion appartient au Conseil de Métropole et au Maire de la Commune concernée. Les tomblainois sont irrités des méthodes scandaleuses de Pensalfini qui méprise en permanence les riverains.

L’Est Républicain a beau nous expliquer que le Stade Marcel Picot se trouve à Nancy, il se situe à Tomblaine, où le Maire a encore des responsabilités en terme de pouvoir de police, comme d’urbanisme.

Ces méthodes en disent long sur le niveau de la démocratie pratiqué par le Grand Nancy Métropole.

Quand à la course contre le cancer du sein dans le cadre d’octobre rose, si elle s’est déroulée en majeure partie sur Tomblaine, c’est parce que le Maire de Tomblaine a été plus accueillant que la Ville de Nancy qui n’a pas voulu la recevoir dans le Centre Ville.

Ouverture de la 38ième Foire aux Fromages

De nombreux élus sont venus en amis du Maire de Seichamps
et Vice-Président de la Métropole du Grand Nancy Henri Chanut
et de son équipe municipale à l'occasion de l'ouverture
de la 38ième Foire aux Fromages de Seichamps.

Parmi eux, les maires de Malzéville Bertrand Kling,
d'Essey-les-Nancy Michel Breuille,
les Conseillères Départementales Agnès Marchand,
Véronique Billot représentant le Président Mathieu Klein.

Chaynesse Khirouni députée de Seichamps étaient présente
comme chaque année et Hervé Féron était là aussi en ami.
Une très belle manifestation avec,
comme chaque année de très nombreux exposants,
des attractions, des spectacles,
et une une belle énergie du Comité des Fêtes,
tous les ingrédients pour une fête réussie !

Belle entrée en matière de Benoît Hamon

Voici deux articles parus dans la presse où je suis cité, je ne sais pas où les journalistes ont trouvé que je serais plus Aubryste qu'autre chose... Toujours le besoin de coller des étiquettes !

Hervé FERON



Dans l'Express :



A Saint-Denis, Benoît Hamon candidat pour rassembler la gauche 

Paris - Benoît Hamon, candidat à la primaire initiée par le PS, a réuni dimanche à Saint-Denis ses soutiens, en dénonçant "l'échec du quinquennat" de François Hollande et en se démarquant en creux d'Arnaud Montebourg sur qui il espère prendre l'avantage à la gauche du PS.

Fustigeant l'effacement du clivage entre la gauche et la droite, selon lui poussé à son paroxysme par le président de la République, et rejetant l'idée selon laquelle les gauches seraient "irréconciliables", comme le disent Manuel Valls et Jean-Luc Mélenchon, M. Hamon s'est efforcé d'apparaître comme "le meilleur candidat pour rassembler toute la gauche". 

"Je me mets au service de l'unité et du rassemblement de la gauche", sans lesquels il est "totalement illusoire de penser que la gauche puisse être au second tour de l'élection présidentielle", a affirmé l'ancien ministre de l'Education, au terme d'un discours de près d'une heure et demi, salué par les applaudissements nourris de quelque 500 de ses partisans, réunis dans un ancien site industriel converti en lieu évènementiel, L'Usine.  

Pour le député des Yvelines, qui a oeuvré à des convergences rouges-roses-vertes à l'Assemblée, notamment à l'occasion du débat sur la loi Travail, "jamais un programme commun de la gauche n'a été si facile, ne serait si facile à écrire". 

Défense d'une "économie altruiste" et respectueuse de l'environnement, de la réduction du temps de travail, d'un revenu universel d'existence versé à chaque citoyen français; promotion d'une VIe République instaurant une dose de proportionnelle et le non-cumul des mandats dans le temps; aide gratuite au devoir pour tous les écoliers et collégiens... le candidat a semé les marqueurs de gauche dans son discours. 

Sans atteindre la virulence d'un Arnaud Montebourg la semaine dernière, l'ancien ministre de François Hollande n'a pas pris de gant pour dénoncer "l'échec du quinquennat" du président de la République: en reprenant à la droite ses idées plutôt que celles pour lesquelles elle avait été élue, la gauche a "ajout(é) à l'échec économique et social la défaite morale", a-t-il dénoncé. 

M. Hamon a par ailleurs une nouvelle fois vivement critiqué l'interdiction dans certaines communes du burkini et l'attitude de l'exécutif dans cette polémique. "J'ai le sentiment qu'aujourd'hui en France, aux yeux de nombreux dirigeants politiques et de nombreux Français +un bon musulman, c'est un musulman qui n'est pas musulman+ (...) Un musulman invisible", a-t-il dit. 

- "Ne pas se tromper d'adversaire" - 

Sans le nommer, M. Hamon s'est par ailleurs efforcé de se démarquer d'Arnaud Montebourg, entré en campagne la semaine dernière.  

"Je veux ici rappeler mon hostilité à l'exploitation des gaz de schiste et mon engagement à réduire la part du nucléaire dans le mix énergétique", a-t-il affirmé, sous les applaudissements de la salle. M. Hamon a également pris soin de souligner la dimension "collective" de sa démarche, loin de la posture d'homme providentiel endossé par son ancien comparse, et son engagement clair dans le processus de primaire décidé par le PS -là où M. Montebourg maintient l'ambiguïté. 

Enfin, sur le plan européen, M. Hamon a souligné la nécessité, au-delà du "volontarisme qu'on affiche", de proposer une "méthode (...) pour nouer des alliances et bâtir des coopérations seules capables d'inverser les rapports de force existants". 

Selon l'entourage du candidat, une vingtaine de parlementaires lui ont apporté son soutien, dont de nombreux frondeurs mais pas seulement: les députés Hervé Féron (aubryste) et Alexis Bachelay (motion D) étaient notamment présents, de même que le président du jeunes socialistes Benjamin Lucas, a-t-on indiqué. 

Une convergence sera-t-elle possible entre MM. Hamon et Montebourg comme le souhaite le chef de file des frondeurs, Christian Paul ' "L'idée est de se retrouver, affirme une élue francilienne. Il ne faut pas se tromper d'adversaire. Ce n'est pas Arnaud Montebourg, mais la droite, la gauche de gouvernement". 

"Ce qui a été acté, c'est une convergence. Aura-t-elle lieu avant le premier tour ' Au second tour '", confirme un proche de M. Hamon. 



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Dans Le Point :

Benoît Hamon réunit ses soutiens à Saint-Denis ce week-end

 

Tentative de récupération politique...affligeant !

La droite a profité misérablement de la terrible actualité pour tenter de récupérer politiquement la situation.

Tour à tour, les tristes aboiements de messieurs Estrosi, Juppé, Fillon, Sarkozy nous ont affligés ! 

Quel irrespect pour les familles et les victimes ! Quand l'unité nationale, la solidarité, le recueillement devraient nous réunir. On attend de responsables une autre attitude.
Le Gouvernement, par un communiqué, a souhaité éclairer les Françaises et les Français, sans polémique.

Face au terrorisme qui nous a frappés à nouveau le 14 juillet au soir à Nice, le Président de la République a rappelé la nécessité de l’unité nationale et la détermination de notre pays à vaincre la barbarie djihadiste.

M. Manuel VALLS, Premier Ministre, et M. Bernard CAZENEUVE, Ministre de l’Intérieur, souhaitent apporter les précisions suivantes sur l’action que mène le Gouvernement depuis 2012 pour lutter contre ce fléau.

Contrairement à ce que le président du parti les Républicains a affirmé ce soir, aucun Gouvernement n’a fait autant jusqu’à présent pour lutter contre le terrorisme.

Nous répondons d’abord par une mobilisation totale de nos forces, dont nous rehaussons les effectifs – 9 000 emplois de policiers et de gendarmes recréés sur l’ensemble du quinquennat, dont 1900 pour renforcer le renseignement intérieur, quand 12 500 avaient été supprimés entre 2007 et 2012. Le Ministre de l’Intérieur a également mis en œuvre un nouveau schéma national d’intervention des forces sur l’ensemble du territoire et a modernisé l’équipement et l’armement des primo-intervenants, policiers des BAC et gendarmes des PSIG. Cela a été rendu possible par une augmentation de 17% des crédits de fonctionnement des forces de sécurité intérieure, là où ils avaient diminué d’autant lors du précédent quinquennat. Les services de renseignement ont été réformés par la création de la DGSI, du SCRT et d’un Etat-Major opérationnel de Prévention du Terrorisme qui coordonne la politique de prévention de la radicalisation et contrôle la qualité du suivi des individus radicalisés. Le Fichier de Signalement des Personnes Radicalisées à caractère Terroriste, créé en 2015, permet d’assurer un suivi permanent de 12 000 individus.

Nous répondons ensuite par l’adaptation de nos outils juridiques. Trois lois antiterroristes et une loi renseignement ont été adoptées au cours du quinquennat. Une première loi antiterroriste adoptée dès décembre 2012 permet de juger des ressortissants Français pour leur participation à des infractions terroristes commises à l’étranger. Cette loi, conjuguée à l’action de nos services de police et de renseignement, a déjà permis d’ouvrir près de 300 procédures judiciaires à l’encontre de plus de 1200 de nos ressortissants impliqués dans des filières djihadistes. Une deuxième loi antiterroriste, adoptée le 13 novembre 2014, a créé l’interdiction de sortie du territoire (IST), l’interdiction d’accès au territoire (IAT), la fermeture et le déréférencement de sites faisant la propagande terroriste sur la toile. La loi du 3 juin 2016 renforçant la lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement permet désormais l’utilisation, dès le stade de l’enquête préliminaire, de moyens spéciaux d’enquête jusqu’alors réservés à l’information judiciaire, comme la sonorisation de lieux privés, l’utilisation d’imsi-catcher, le recours élargi aux perquisitions de nuit. La loi instaure en outre la perpétuité réelle pour les auteurs de crimes terroristes et durcit les conditions de la détention provisoire et des aménagements de peine. Toutes ces dispositions sont applicables depuis la promulgation de la loi. Enfin, la loi Savary du 22 mars 2016 a également renforcé le niveau de sécurité dans les transports.

Nous y répondons également par une action déterminée pour la prévention de la radicalisation. Dès avril 2014, un plan global de lutte contre les filières djihadistes a été lancé, avec notamment la création d’un numéro vert pour les familles qui a déjà permis de signaler plus de 5 000 individus, et d’empêcher de nombreux départs. La lutte contre la radicalisation est une priorité parfaitement identifiée et le Gouvernement a annoncé le 9 mai dernier un plan très complet de 80 mesures pour lutter contre la radicalisation et contre le terrorisme, avec notamment la création d’un centre de réinsertion et de citoyenneté  par région d’ici fin 2017. Le premier Centre de réinsertion et de citoyenneté ouvrira le 1er septembre en Indre et Loire.

Nous y répondons au plan européen. Sous l’impulsion de la France, les instances européennes ont adopté des mesures indispensables : une modification de l’article 7-2 du code Schengen permettant un renforcement des contrôles aux frontières extérieures de l’Union, la création d’un corps de garde-frontières et de garde-côtes européen, la révision de la directive sur les armes à feu, et l’adoption du PNR.

Contre le discours radical islamiste, le Gouvernement est extrêmement ferme : depuis 2012, 80 mesures d’expulsion ont été prononcées à l’encontre de prêcheurs de haine ou de pseudo-imams autoproclamés. Dix mosquées ou salles de prières radicalisées ont été fermées. Aucune ne l’avait été au cours du précédent quinquennat. Quant à la mosquée En Nour de Nice, son ouverture a été décidée non par le Préfet mais par la justice, sanctionnant les manquements de la municipalité de Nice au respect des règles de droit. Nous sommes, en effet, un Etat de droit.

La question de la « rétention administrative » a été examinée avec la plus grande attention par le Gouvernement. Soit un individu isolé conçoit un projet de passage à l’acte dans un registre collectif ou individuel, et il ne relève pas d’une rétention administrative mais de la prison au titre des infractions pénales à caractère terroriste ; soit il n’existe pas d’éléments de preuve justifiant d’un risque terroriste (et la fiche S constitue un élément de mise en attention, un outil de renseignement mais pas un élément de preuve) et par conséquent la mesure de restriction de liberté au titre de l’article 66 de la Constitution ne peut être mise en œuvre, car elle est non conforme aux règles constitutionnelles et européennes. Du reste, le Conseil d’Etat, dans l’avis qu’il a rendu sur cette question le 17 décembre 2015, à la demande du Gouvernement, s’est exprimé sans appel : « en dehors de toute procédure pénale, la détention de personnes présentant des risques de radicalisation est exclue sur le plan constitutionnel et conventionnel.» Notre Constitution garantit les libertés publiques : l’arbitraire n’est pas constitutionnel. Surtout, il n’est ni acceptable, ni efficace. 

Par ailleurs, la consultation habituelle des sites djihadistes est un délit passible de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende depuis le 3 juin dernier. Ces dispositions complètent la législation existante et sont d’ores et déjà applicables.

Enfin, l’isolement des détenus radicalisés est testé depuis janvier 2015 dans cinq établissements pénitentiaires. Les détenus radicalisés sont séparés des autres et incarcérés individuellement. Ils suivent en outre un programme spécifique.

Cette action résolue donne des résultats : 16 attentats ont été déjoués sur notre sol depuis 2013. 160 individus en lien avec des activités terroristes ont été arrêtés depuis le début de l’année en France, grâce à l’action de nos services. Depuis le rétablissement des contrôles aux frontières au soir du 13 novembre, 48 millions de personnes ont été contrôlées à l’ensemble de nos frontières terrestres, aériennes et maritimes, et 28 000 individus ont été empêchés d’entrer sur notre territoire.

Le Gouvernement est totalement déterminé à poursuivre et à amplifier cette action, dans le respect de nos règles démocratiques, de la cohésion nationale, au seul service de la sécurité des Français et de la défense de la France.

Fraternité et Solidarité

Hervé Féron annonce la sortie de son documentaire



JT 19/20 France 3 Lorraine le 16/04/2016 : 

Hervé Féron annonce la sortie de son documentaire "Un Mur dans le Désert", sur LCP le 22/04/2016.

Un million et demi !!!

La barre du million et demi a été passée aujourd'hui et vous n'avez même pas attendu que je sois rentré du Rwanda pour que nous puissions fêter ça ensemble !!!
Je vous remercie toutes et tous d'être fidèles à mon site herveferon.Fr
Parmi ce million cinq cent mille visites, il faut remarquer que 500 000 vues ont été comptabilisées en seulement un an ! Cela signifie que vous suivez mon activité, que vous cherchez peut-être aussi une information, mais cela signifie que vous avez conscience du fait que je suis actif.

Je continue à m'engager dans l'intérêt général pour ma commune, pour ma circonscription, mais aussi sur des sujets de politiques étrangères (comme actuellement au Rwanda) parce que l'engagement public doit être cohérent. Alors cela m'amène parfois à dire des choses qui peuvent déranger (comme la semaine dernière à la CUGN), cela m'amène parfois à soulever des sujets tabous, cela m'amène parfois à ne pas voter comme mon parti (ou plutôt certains de ses responsables nationaux) le voudrait, je reste libre, non aligné. Je me dis que vous devez être nombreux à préférer la politique comme ça, et c'est peut-être pour ça que l'on se retrouve régulièrement sur ce site...
Nous partagerons encore de belles victoires...
Merci à tous.

Hervé Féron.

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami

 

 

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