Le Président de la Communauté Urbaine a donné des responsabilités dans son exécutif uniquement aux Maires de Droite et certains d’entre eux utilisent ce pouvoir malheureusement trop souvent pour se faire valoir ou pour régler leurs comptes. Comment expliquer par exemple que le club de basket de Tomblaine appelé ASPTT Nancy-Tomblaine Basket ait demandé pour faire sa journée de fête avec les familles des joueurs le COSEC de Tomblaine qui permet facilement de jouer au basket en intérieur tout en faisant la fête à l’extérieur au mois de juin et qu’on lui ait refusé en lui proposant à la place le gymnase Jacquet à Nancy où les possibilités sont beaucoup plus réduites pour faire la fête en extérieur ? Tout cela quand on sait que ce dimanche, le COSEC de Tomblaine n’était pas utilisé.
Le Vice-Président est Monsieur Pensalfini. Pourquoi traite-t-il les clubs tomblainois de la sorte ? Pourquoi réserve-t-il les terrains annexes dans l’enceinte du stade Marcel Picot, pourtant à Tomblaine, au club de football de Saint-Max et pourquoi les refuse-t-il au GSAT, club de Tomblaine ? Le club de basket ASPTT Nancy-Tomblaine a eu d’excellents résultats cette année en particulier chez les filles. Elles ont gagné tous leurs matches, elles accèdent en Nationale 3, elles ont gagné la Coupe de Lorraine et elles sont championnes. Elles reçoivent actuellement une équipe algérienne, sélection de la région de Saïda, parmi lesquelles 4 joueuses sont membres de l’équipe nationale d’Algérie. C’est une belle activité pour ce club et l’on sent bien que ce dynamisme vient de l’ancrage tomblainois d’où sont issus une grande partie des joueurs et des dirigeants. Leur refuser une infrastructure basée sur Tomblaine sans raison est forcément vécu comme une injustice de plus.
Samedi matin, Hervé Féron a inauguré une journée d’animations à l’Espace Jean Jaurès de Tomblaine en partenariat avec la Ligue 54 contre le Cancer. Un colon géant était exposé et visitable avec de nombreuses animations de sensibilisation pour la prévention contre le cancer colorectal. C’est aussi à cette occasion que l’association « Une rose, un espoir », qui a offert plus de 5.000 roses il y a quelques semaines en contrepartie de dons, a transmis à la Ligue contre le Cancer un chèque de 6.700 € représentant la totalité des dons perçus. Grâce à la mobilisation de l’association tomblainoise « Les Moilcars », une cinquantaine de motards sont partis sur les routes de Tomblaine à Lunéville pour offrir ces roses qui avaient été mises sous sachets par plusieurs dizaines de personnes âgées au Foyer de personnes âgées de Tomblaine. Quel bel élan de solidarité ! Ces 6.700 € vont servir à l’Ecole de chirurgie de Nancy pour acheter un microscope à fluorescence qui permettra de soigner le lymphœdème.
Avec le Président de la Ligue 54 contre le Cancer
Samedi à 16h30, Hervé Féron a procédé à un mariage qui sortait de l’ordinaire puisqu’il était assisté pour l’occasion de Stéphane Hablot, Maire de Vandoeuvre, Vice-Président du Conseil Départemental. En effet, les mariés sont tomblainois mais avaient été précédemment vandopériens.
Dimanche à 13h30, le Député-Maire était au complexe Léo Lagrange de Tomblaine pour fêter le 20ème anniversaire de l’association « Gardons la Forme », association qui propose du sport pour tous, dotée d’animatrices expérimentées. Cette activité est proposée dans la proximité puisqu’elle permet aux habitants de tout un quartier de venir plusieurs fois par semaine au gymnase Brossolette dans le quartier des Ensanges. « Gardons la Forme », c’est du sport pour tous mais c’est aussi de l’éducation populaire et du lien social.
A 15h, Hervé Féron s’est rendu à la salle Jacquet à la Pépinière de Nancy pour la Fête des familles organisée par l’ASPTT Nancy-Tomblaine de basket. Il a pu rencontrer également l’équipe féminine algérienne, actuellement en séjour à Tomblaine. Il a remis des diplômes de félicitations aux bénévoles du club et des maillots à l’équipe minime féminine.
A 16h, le Député-Maire est allé assister aux derniers matches du Challenge Pizzi au Stade Léo Lagrange, organisé par le GSA Tomblaine. 9 équipes ont participé à ce challenge placé sous le signe de l’amitié et en mémoire à Raoul Pizzi. Une belle manifestation !
Comme souvent, beaucoup regretteront que l’Est Républicain s‘empare du moindre sujet négatif pour faire la une sur Tomblaine et ne communique pas sur les aspects positifs. Chacun sait que cette Ville connaît un développement remarquable avec +9,74% d’habitants en 4 ans, 21 commerces et entreprises nouvellement installés, un Projet de Rénovation Urbaine remarqué dans certaines revues au niveau national, mais ça, ça n’intéresse pas le journal local. Là, il était essentiel à la une de ce journal de valoriser ce sujet négatif sauf que les titres sont trompeurs et le contenu de l’article aussi.
Le titre dit « Musée de Tomblaine : la gabegie sera démolie ». Outre le style de la formule qui laisse à désirer, il faut déjà remarquer que si gabegie il y a eu, c’est avant 1998 lorsque la majorité de droite du Conseil Général a fait n’importe quoi dans ce qu’ils appelaient un musée. Cela n’a jamais été un musée, aucune muséographie, aucune scénographie, un gâchis financier. Michel Dinet a eu raison de décider de cesser l’activité de cet établissement.
Mais la gabegie avait déjà été engagée avant 1998 puisque ce bâtiment, certes esthétique, n’était finalement pas compatible avec quelqu‘activité que ce soit, car pas isolé et ne pouvant pas supporter de nouvelle isolation. Ensuite quand le journaliste donne la parole à Eric Pensalfini, c’est un comble car celui-ci n’a absolument pas connu l’histoire de ce bâtiment mais il appartient à une majorité qui a créé le problème au Conseil Général avant 1998 et à la majorité de la Communauté Urbaine qui empêche tout développement économique sur ce site depuis si longtemps. Les donneurs de leçons n’ont pas de honte.
Le journaliste me donne la parole mais ce qu’il me fait dire est assez réducteur. D’abord, il annonce que j’ai siégé au Conseil d’Administration du musée (ce qui laisse à penser que je porte une responsabilité dans cette affaire), il est important de préciser que j'ai été membre du Conseil d'Administration après les élections de 1998, quand je suis devenu Conseiller Général et que nous avons constaté ce scandale. J’ai donc participé à faire fermer ce musée qui coûtait une fortune aux contribuables. S’il est vrai qu’aujourd’hui je trouve que c’est une sage décision, la solution que j’avais proposée il y a deux ans avec un centre équestre qui avait projet de bodega, de club équestre, d’activités autour du handicap, de spectacles équestres et de formation d’artistes équestres était une bonne solution. C’est malheureusement la Communauté Urbaine qui l’a empêchée.
La Commission des Affaires Culturelles et de l'Education de l'Assemblée Nationale a reçu le mercredi 3 juin dernier une délégation de la Commission de la Culture et des Médias du Bundestag.
Une visite qui a permis aux députés français et à leurs homologues allemands de travailler ensemble sur les questions de la diversité culturelle et de l'avenir des droits d'auteur dans l'Union Européenne, avant de prendre la pose devant le Palais Bourbon.
Aujourd’hui a été adopté en commission spéciale examinant le Projet de loi « Croissance et activité » un amendement que j’avais déposé dans le but de protéger une offre cinématographique équilibrée et de qualité sur l’ensemble du territoire français.
D’aspect relativement technique, cet amendement concernait le seuil au-delà duquel il est nécessaire, pour tout projet de création ou d’agrandissement d’un établissement cinématographique, de demander une autorisation à une Commission départementale d’aménagement cinématographique. Fixé à 300 fauteuils par cinéma en 2003, ce seuil avait été relevé à 600 fauteuils par la droite sénatoriale, menaçant fortement le dispositif de régulation des implantations des cinémas.
En effet, le seuil de 300 fauteuils est un mécanisme considéré comme protecteur pour ce que l’on appelle la « petite et moyenne exploitation » cinématographique ainsi que pour les salles d’art et d'essai, davantage présentes dans les cinémas de taille modeste. Mis en place il y a une dizaine d’années, ce seuil a permis d'éviter l'installation trop facile de gros complexes cinématographiques, en menant ainsi à une croissance équilibrée du parc de cinéma français.
Comme les nombreux collègues députés qui se sont associés à ma démarche, je suis persuadé qu’il nous faut protéger les mécanismes de régulation de l'aménagement cinématographique, d'autant plus que le dernier bilan du Centre National du Cinéma a montré que la tendance récente était à l'agrandissement des salles et à la diminution des établissements.
En effet, avec la régulation, c'est toute la diversité du cinéma et l'accès aux salles sur l'ensemble du territoire qu'il s'agissait de défendre, ce qui est désormais chose faite avec l’adoption de cet amendement.
Il y a quelques semaines, Hervé Féron avait été sollicité par les élèves de la classe de CM1/CM2 de l'école Saint-Sauveur de Nancy qui souhaitaient connaître son action dans le domaine du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Plutôt que de leur répondre par un simple courrier, Hervé Féron leur avait proposé de se rendre dans leur classe afin de leur expliquer tout cela de vive voix.
La rencontre s'est déroulée ce lundi matin à l'école Saint-Sauveur. A cette occasion, Hervé Féron a pu présenter le rôle du Député et surtout échanger avec les enfants sur les thématiques touchant à l'environnement car, s'il leur a donné de nombreux exemples d'interventions dans le cadre de ses fonctions de Député et de Maire, les élèves avaient également des propositions intéressantes à lui suggérer, fruit d'un travail régulier mené tout au long de l'année scolaire avec leur enseignant.
Hervé Féron et les élèves ont convenu qu'ils se tiendraient informés de l'avancement de leurs démarches respectives.
On le sait, à Tomblaine, la jeunesse est une priorité et ce n’est pas un hasard si le club local de gymnastique sportive Rondade Salto récolte des titres et multiplie les performances chaque année puisqu’une employée municipale diplômée d’Etat intervient dans toutes les classes de toutes les écoles élémentaires. Tous les élèves de Tomblaine bénéficient donc de cours de gymnastique sportive. C’est là une véritable pépinière pour le club local.
Au mois de mai déjà, lors des championnats de France individuels à Cognac, Rondade Salto a remporté 2 titres de champion de France et 3 troisièmes places chaque fois dans la catégorie la plus élevée, les jeunes Tomblainois sont donc les meilleurs dans leur année d’âge. Ainsi, Mathis Noblet et Xavier Blaise sont devenus champions de France, Vincent Marchesi médaille de bronze, Théo Noblet également troisième en individuel et Malo Genay également médaille de bronze. Camille Hoelter, quant à lui, a participé à la finale aux arçons et aux barres parallèles, ce qui signifie qu’il figurait là parmi les 8 meilleurs gymnastes de la compétition.
Pas trop mal pour ce petit club de Tomblaine !
La semaine suivante, le week-end du 16 et 17 mai, Rondade Salto raflait 2 titres de champion de Lorraine ainsi qu’une deuxième et une troisième place.
Les champions de Lorraine
Puis, le samedi 30 mai, c’était les championnats de zone Est : deux champions et une championne de zone Est pour le club de Tomblaine. Et puis ce week-end, c’était les championnats de France par équipes à Saint-Etienne. Vendredi, Rondade Salto a été sacrée championne de France dans la catégorie benjamins-minimes et dimanche, c’est l’équipe de benjamins qui est également devenue championne de France.
L'équipe de benjamins-minimes championne de France
L'équipe de benjamins championne de France
Quelle moisson !!!
Le Président Denis Hoelter n’a pas l’air mécontent.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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