Il est bientôt temps de prendre une pause pour les parlementaires de l’Assemblée nationale. En effet, la fin de la session extraordinaire se tiendra ce mercredi. Mais avant tout, mes collègues et moi-même seront amenés à débattre et à voter pour ou contre l’autorisation de la prolongation de l’intervention des forces françaises armées en Libye dans le cadre de la résolution 1973 de l’ONU. Elle devrait être reconduite sans trop de surprise…
Si la France a été l’un des premiers pays à demander une intervention militaire après le « printemps libyen », elle semble cependant beaucoup moins pressée d’en faire de même pour la Syrie…
Depuis plusieurs mois maintenant, nous sommes en effet les témoins malheureusement passifs d’un fait historique majeur. Les révoltes arabes témoignent d’une aspiration à vivre dans des sociétés démocratiques, libres, ouvertes, tolérantes et respectueuses des droits fondamentaux permettant à chacun de vivre dignement.
Cependant, la situation est en train de tourner au cauchemar en Syrie… Répression du peuple, activité économique fortement perturbée (au bas mot), région totalement déstabilisée, etc. L’intervention de l’armée syrienne a déjà fait plus de 1200 morts, sans que les Etats-Unis et l’Union européenne ne fassent grand cas des sacrifiés du « printemps syrien »… En parallèle, on ne compte plus les milliers d’arrestations et les dizaines de milliers de réfugiés (à l’intérieur comme à l’extérieur du pays).
Aujourd’hui, la révolte syrienne a plus de cent jours derrière elle. Les autorités du pays avaient laissé pendant un temps l’illusion d’une volonté de consensus, de promesses, d’efforts, de réformes… Une illusion juste… Le président Bachar Al-Assad a vite renoué avec les vieilles pratiques en vigueur il y a quarante ans… La violente répression des forces de sécurité à l’encontre du peuple syrien a poussé les civils à rejoindre les rangs protestataires.
Mais aujourd’hui, que font les occidentaux ? Quelle est leur position ? Où sont-ils tandis que le peuple syrien souffre ??? Telles sont les questions que j’ai posées ce lundi 11 juillet 2011 au Ministre des Affaires étrangères et européennes. La situation est trop dramatique et inacceptable pour qu’elle soit ignorée ! Les relations entre Damas et Paris sont rompues depuis l’assassinat de Rafiq Hariri en 2005. Six ans déjà ! Et depuis (même bien avant déjà…), le seul et unique objectif du régime syrien semble être le maintien du statu quo sur tous les fronts : le maintien du contrôle sur le Liban via l’action du Hezbollah, l’absence d’évolution démocratique pour le peuple syrien, et le refus d’une éventuelle paix avec Israël…
Face à cette situation, il est aujourd’hui nécessaire que la France et ses alliés occidentaux révisent leur doctrine du statu quo s’ils veulent préserver la moindre chance de cesser le massacre. Le gouvernement français doit réagir et dénoncer avec la plus grande fermeté la véritable guerre menée par le régime de Bachar Al-Assad contre son peuple. Mais la France seule ne parviendra à rien. Plus que jamais, nous devons exiger des Etats-Unis et de l’Union européenne une position claire contre les exactions orchestrées par les responsables syriens. C’est une nécessité si l’on veut que les massacres cessent rapidement…
Oui, « c’est un grand art que de vendre du vent… ». L’écrivain espagnol Baltasar Gracian y Morales, qui établissait ce constat il y a 350 ans, ignorait alors sans doute qu’aujourd’hui sa formule aurait pris tout son sens.
Ainsi, à moins d’un an de l’élection présidentielle, l’heure est au bilan pour Nicolas Sarkozy et sa politique en matière d’environnement. Plus précisément, il s’agit ici de faire le point sur l’état d’avancement du parc éolien français. Et force est de constater qu’à ce sujet, le Président excelle pour vendre du vent…
Le Grenelle II de l’Environnement, émanant de la loi du 12 juillet 2010, instaure un Schéma régional éolien, dont l’objectif est de définir pour chaque région les zones favorables à l’aménagement et au développement de l’énergie éolienne. Le but étant d’atteindre une capacité de production de 19.000 MW à l’horizon 2020, soit 10% du mix énergétique, alors que la France produit actuellement 6.000 MW (à peine 2% du mix énergétique…). A ce sujet, rappelons d'ailleurs qu'en 2008 le Préfet de Meurthe-et-Moselle avait pris un arrêté visant à refuser la création d'une zone de développement de l'éolien sur le territoire de Haraucourt, dans la deuxième circonscription de Meurthe-et-Moselle...
Aujourd'hui, les chiffres annoncés pour le premier semestre 2011 par François FILLON ne laissent rien présager de bon… En effet, le Premier ministre affirme que seuls 80 MW sont connectés au réseau, ce qui fait tomber l'évolution annuelle aux environs des 600 MW sur l'année alors qu'il faudrait passer à 1.500 MW par an pour atteindre les 19.000 MW et 10 % du mix énergétique. Nous sommes donc bien loin du compte, et cet inquiétant retard m’a incité à interroger la Ministre de l’Ecologie quant aux raisons de celui-ci. Réponse dans moins de deux mois…
Quoi qu’il en soit, la question de l’écologie doit être aujourd’hui au cœur d'une réflexion sur l’avenir du monde. Et plus que jamais, la catastrophe de Fukushima en mars dernier doit nous inciter à faire preuve d’une exceptionnelle rigueur quant à la politique environnementale de la France.
Le Grenelle de l’Environnement se voulait être un vaste et ambitieux chantier pour l’avenir. Mais il semble désormais qu’il n’ait pas bénéficié des moyens nécessaires à sa réalisation… Il est pourtant bel et bien temps de sortir de la dépendance du nucléaire et du pétrole !!! Cela ne peut se faire que progressivement, certes. Mais nous devons le faire, quel que soit le prix à payer ! C’est un choix politique, un choix pour l’avenir, auquel le Parti socialiste se prépare courageusement en prévoyant d’ores et déjà dans son projet la mise en place d'un plan massif de développement des énergies vertes.
« Tout augmente… sauf les salaires !!! » : cela pourrait sonner comme un discours démagogique, purement électoraliste, à un an des élections. Pourtant, les chiffres sont bien là !!! Dans le collimateur : les tarifs de l’électricité et le prix de l’essence. « Des classiques ! », me direz-vous. Certes, nous en avons désormais l’habitude. Pour autant, il n’est pas question de se résigner !
Vous l’aurez sans doute remarqué, les factures d'électricité pour les abonnés particuliers ont augmenté au 1er juillet suite à la publication au Journal Officiel de l'arrêté fixant les tarifs réglementés de vente hors taxes. De 2,9 % en moyenne ! Les hausses représentent donc 1,7 % pour le "tarif bleu" (pour les particuliers) et 3,2 % pour les tarifs jaune et vert (pour les industriels et les grandes entreprises).
A ces évolutions du tarif réglementé s'ajoute une hausse de la contribution au service public de l'électricité (CSPE), ce qui amène la hausse moyenne totale à 2,9 % pour les particuliers. J’ai d’ailleurs rappelé, lors d’une question écrite adressée ce 6 juillet 2011 au Ministre de l’Industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, que le prix de l'électricité a déjà augmenté de 6,4 % depuis un an, selon l'Insee, après deux hausses consécutives en août 2010 et janvier 2011. Rien ne justifiait cette nouvelle augmentation !!!
Par ailleurs, de nombreux Français ont fait part à Eric BESSON de leur mécontentement au sujet des tarifs du carburant. Et ils ont raison !!! Le prix du pétrole diminue fortement, et pourtant les prix à la pompe restent scandaleusement élevés. Ils atteignent en effet aujourd’hui les sommets de l’été 2008, alors que le prix du brut était 50 % supérieur à ce qu’il est aujourd’hui. Sur la courte période, le prix du baril est passé de 121 à 90 dollars, soit une diminution de - 25 % depuis le 4 mai dernier !!! Et le débat actuel d’une baisse des prix à la pompe tourne autour de 2 centimes le litre (soit de 1,3 %)… Cherchez l’erreur… Alors non ! Nos concitoyens ne sont pas fous dès lors qu’ils ont l'impression que les répercussions à la hausse sont toujours rapides et conséquentes, tandis que les répercussions à la baisse sont insignifiantes quand elles ont lieu. Ils prennent juste conscience de la supercherie !!!
Aujourd’hui, le pouvoir d'achat des ménages, notamment les plus modestes, est toujours dans une situation critique en dépit des promesses du Président de la République en la matière. Qu’importe ! La droite continuera à les faire payer jusqu’au bout…
Dimanche 10 juillet 2011 : plusieurs grands quotidiens français annoncent via leur site internet qu'une nouvelle augmentation du prix de l'essence aura lieu cet été. Christophe de Margerie, le PDG de Total, explique que la hausse des prix du pétrole devra se répercuter à la pompe. Rappelons que Total, première capitalisation boursière sur la place de Paris, ne s'acquitte d'aucun impôt sur les sociétés, malgré ses dix milliards d'euros de profits annuels...
Au départ, il faut se souvenir qu’il s’agissait simplement de trouver un remplaçant à Christine Lagarde suite à sa nomination au poste de Directrice Générale du FMI… A l’arrivée, on assiste à une valse de neuf personnes !
Plus encore, on a assisté à une rivalité farouche entre nos futurs ministres pour savoir qui remporterait le poste convoité… L’amitié prétendue et affichée entre Bruno Le Maire et François Baroin semble bien être révolue et avoir été un effet d’annonce !
Il faut aussi noter la portée électoraliste et démagogique des nouveaux entrants (Jean Leonetti et François Sauvadet) pour dissuader une candidature de la droite dite sociale aux élections présidentielles…
Et derrière cette mascarade politicienne, le gouvernement multiplie les erreurs politiques envers les concitoyens.
Chantage politique, arrogance, ambition exacerbée, et puis désillusion pour certains. Tel est le leitmotiv des remaniements si fréquents, orchestrés par Nicolas Sarkozy. Lui qui promettait pourtant un gouvernement stable surtout, et restreint : « 15 ministres, pas un de plus ! ».
Dans la Sarthe, Nicolas Sarkozy avait assuré Bruno Le Maire de sa nomination au Ministère de l’Economie, mais a changé d’avis dans la soirée. Un revirement dû au caprice de François Baroin, qui a gentiment demande Bercy sans quoi il préparerait sa lettre de démission. Pire encore, il aurait avancé la menace de rallier la droite dite sociale. Furieux, Bruno Le Maire aurait refusé de remplaçait Baroin… Toutes ces humiliations et ces frustrations, ça ne laisse pas indemne !
Notez la victoire : Luc Chatel et Frédéric Mitterrand sont les meilleurs performeurs ministériels, avec une endurance de près de deux ans au même poste…
Et le Président Sarkozy voudrait nous faire croire que son gouvernement s’intéresse aux problèmes des Français, et y apporte des solutions efficaces, tandis qu’on note une valse perpétuelle des ministres en charge des dossiers sensibles, avec pas moins de 17 petites rénovations nerveuses en 4 ans ! Quelle efficience et quel respect pour les partenaires et les citoyens, légitimement brouillés avec le pouvoir politique.
C’est ainsi que Valérie Pécresse, qui a porté une réforme importante du quinquennat, n’ira pas au bout de sa mission. Parachutée au Budget pour 9 mois, on peut craindre qu’elle n’ait pas le temps de faire des merveilles !
Et je ne vous parle pas de VRD qui annonce régulièrement son entrée au ministère depuis 2 ans, qui a copiné pour cela avec Eric Woerth (mauvaise pioche), puis Michèle Alliot-Marie (mauvaise pioche), puis Fillon (game over ?)…
Devant une cinquantaine de personnes, Hervé FERON est intervenu aujourd'hui à 17h, devant la mairie de Tomblaine. A l'occasion, une classe de la ville jumelée allemande d'Hasbergen a eu l'occasion d'assister au dépôt de la banderole :
"La ville de Tomblaine est heureuse de fêter aujourd'hui la libération d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ainsi que leurs trois accompagnateurs Reza, Ghulam et Satar.
La ville de Tomblaine est fière d'avoir été actrice, depuis de nombreux mois, de l'extraordinaire élan de solidarité qui s'est constitué dans notre pays pour appeler à la libération de ces otages.
Depuis le 29 décembre 2009, deux journalistes de France 3, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, et leurs trois accompagnateurs afghans, Reza, Ghulam et Satar, avaient été enlevés par les talibans et étaient retenus en Afghanistan. Ils s'étaient rendus dans ce pays en guerre missionnés par France Télévision, pour faire leur travail de journalistes et nous apporter la meilleure information possible, comme ils le font depuis plus de 20 ans.
Hervé et Stéphane terminaient en cette fin décembre 2009 une enquête de plus de trois semaines auprès de l’armée française engagée sur place et de la population afghane. Si le reportage dans un pays en guerre n’est jamais sans risque, il est essentiel pour comprendre les enjeux et décrypter les causes ! Hervé, Stéphane et leurs accompagnateurs afghans devaient aller au plus près des combattants et des populations civiles pour comprendre les motivations de chaque camp, évaluer les tensions, pour nous restituer la complexité politique et la douleur humaine. Pour tout cela, nous leur devions aussi à Tomblaine de nous mobiliser.
Je remercie les journalistes locaux et nationaux, ainsi que Florance Aubenas qui m'avait alors appelé pour saluer l'initiative de notre ville, émue et solidaire de ses confrères car en effet, le 16 septembre 2010, nous installions ici nombreux cette banderole exigeant la libération des otages.
Ce 16 septembre 2010 était avec nous ici à Tomblaine Jean-Jacques Le Garrec, ce reporter journaliste à France 2, ancien otage aux Philippines et membre du Conseil d'Administration de l'association "Otages du Monde". Il y avait là un symbole fort en terme de solidarité au nom de toute une profession et en son nom personnel, de par l'expérience dramatique qu'il a lui-même vécu.
Cette banderole nous l'avons déroulée ici sur le fronton de la mairie, à côté des valeurs de la République"Liberté, Egalité, Fraternité" et de l'Arbre de la Paix que nous avions planté en 2007 pour la libération de tous les otages et prisonniers politiques détenus à travers le monde.
Beaucoup ici se souviennent de l’émotion de ce jour de 2007 où nous avions planté cet arbre, après avoir échangé avec le Professeur colombien Moncayo, qui vit avec les mains enchaînés tant que son fils sera otage !
La présence d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier en Afghanistan, c’était l’essence même du journalisme et la garantie d’une information indépendante que nos services de presse puissent continuer d’envoyer des journalistes dans ces zones de conflits. Car nous partageons tous ici cette valeur fondamentale : la liberté de la presse. Et je salue ce soir également le travail primordial de Reporters sans frontières, qui travaille à faire libérer les journalistes retenus en otage dans le monde.
Aujourd'hui est un jour de fête. Nos premières pensées vont bien sûr aux otages libérés, mais aussi aux familles d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, de Reza, Ghulam et Satar. Nous sommes restés mobilisés jusqu'au bout. Dans le registre mis à disposition à la Mairie, les Tomblainoises et les Tomblainois ont signé pour apporter leur soutien par centaines. Merci à vous de faire vivre ces belles valeurs que sont la solidarité et la fraternité. Merci à vous de défendre la liberté d'informer.
En ce moment de fête, je dois rappeler que le lundi 12 juillet 2010, intervenant dans le cadre du Projet de Loi relatif à l'Action Extérieure de l'Etat, j'ai proposé un amendement pour corriger l'article 13 de ce Projet de Loi. L'article 13 prévoyait que l'Etat français puisse demander aux otages, dont les journalistes, de rembourser les frais occasionnés par leur libération et leur rapatriement. Mon amendement prévoyait d'exclure de cette scandaleuse loi les journalistes, les intervenants humanitaires, les chercheurs universitaires. Mon amendement n'a pas été voté.
J'avais rappelé alors que le Chef d'Etat Major des Armées, le général Jean-Louis Georgelin avait dénoncé le coût des recherches entamées pour retrouver les journalistes de France 3, alors que Claude Guéant, Secrétaire Général de l'Elysée déclarait "qu'ils n'avaient rien à faire là". Monsieur Claude Guéant est aujourd'hui notre Ministre de l'Intérieur. Il est impossible de ne pas se souvenir, mais aujourd'hui, c'est un jour de fête.
Pensons ensemble aux neuf otages français qui sont encore retenus en Somalie, au Niger, au Yémen et dans la bande de Gaza. Restons vigilants et combatifs. La liberté est à défendre sans cesse. Réjouissons-nous de cette libération aujourd'hui. Merci à tous pour votre mobilisation citoyenne.
Le hasard du calendrier fait que nous recevons une vingtaine d'amis habitant en Allemagne, à Hasbergen, ville jumelée avec Tomblaine. Nous allons partager le verre de l'amitié à l'intérieur de la mairie et j'en profiterai pour les saluer. Je les remercie d'être venus s'associer à ce moment d'émotion."
Le 16 septembre 2010, la ville de Tomblaine et ses citoyens hissaient une banderole sur le fronton de la mairie afin de demander avec force la libération d’Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier, Reza, Ghulam et Satar, leurs accompagnateurs, en présence de Jean-Jacques LE GARREC, grand reporter, journaliste à France 2, ancien otage aux Philippines et membre du Conseil d’Administration de l’association « Otages du Monde »
Hier, c’est avec une joie et un soulagement immenses que nous avons appris leur libération, après 547 jours de captivité.
Aujourd’hui jeudi 30 juin 2011 à 17h, nous déposerons symboliquement ensemble la banderole, destinée à exiger leur libération, qui est restée accrochée tant de mois au fronton de la Mairie de Tomblaine.
Un registre a recueilli plusieurs centaines de signatures de soutien en mairie de Tomblaine.
Cet article, tiré de l'agence d'information du secteur hospitalier Hospimedia, fait suite à l'intervention du Député Hervé FERON dans l'hémicycle, mardi 28 juin 2011, au sujet des propriétés antimicrobiennes du cuivre :
"La demande de Hervé Féron, député socialiste, radical, citoyen et divers gauche de Meurthe-et-Moselle, concernant la mise en place d'un plan d'équipement et de prévention pour remplacer progressivement tous les éléments métalliques par du cuivre ou des alliages dans l'ensemble des hôpitaux est pour l'instant mise en attente. Intervenant mardi à l'Assemblée nationale, dans le cadre des questions sans débat, Marie-Anne Montchamp, secrétaire d'État au ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale qui s'est exprimée sur ce sujet en l'absence de Nora Berra, secrétaire d'État chargée de la santé, a rappelé qu'effectivement le cuivre a des vertus anti-microbiennes et biocides utilisées à ce jour dans les domaines de l'agriculture et du traitement des eaux. Seulement, elle a ajouté que l'utilisation du cuivre ou de ses alliages dans la réduction des infections nosocomiales par contact direct des malades se trouve encore au stade expérimental. Si ses qualités anti-microbiennes sont connues les mécanismes de ces actions ne sont pas pleinement élucidés. Seule une évaluation poussée des propriétés du cuivre serait garante de l'innocuité de l'exposition des patients à ces alliages, a-t-elle indiqué, soulignant que le gouvernement restait vigilant à l'avancée des recherches à ce sujet…"
Hospimedia, 28/06/2011
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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