Il y a urgence à considérer ce dossier avec sérieux.
J'ai interpellé le Président de la CUGN à ce sujet, à de nombreuses reprises et cela depuis des années, mais on nous ballade !
Dans mon rôle de Maire de Tomblaine, j’ai souhaité que soient pris en considération trois sujets :
- Le permis de construire de 2003 n’a jamais été respecté complètement, la partie extérieure du stade sur l'aspect esthétique en particulier n’a jamais été réalisée.
- Les espèces de cabines rouges très laides ne servent à rien depuis de nombreuses années et l'ASNL, tout comme la ville de Tomblaine souhaitent qu'elles soient supprimées.
- Les clôtures en grillage sont également très laides et participent à créer un climat de tension aux abords du stade. Dans les stades modernes, il y a longtemps qu'on ne met plus ce genre de clôture grillagée. De plus, elles sont un véritable réceptacle pour des ordures diverses portées par le vent. Si c’est une triste image de Tomblaine que l’on veut donner là, c’est manifestement réussi. Je demande à ce que ces grillages soient démontés.
Le stade Marcel Picot est peu accessible, les spectateurs le vivent très mal, et cela génère aussi des nuisances pour les riverains. J'ai fait un certain nombre de propositions depuis plusieurs années, qui n'ont jamais été entendues. J’ai proposé depuis longtemps une rencontre de travail entre André Rossinot Président de la CUGN, propriétaire du stade, Jacques Rousselot, Président de l’ASNL et moi comme maire de la commune-siège et donc en responsabilité.
Je ne m’étendrai pas sur les commentaires agressifs et primaires du vice-président de la CUGN à mon sujet dans la presse, quand je demande seulement à ce que le maire de Tomblaine soit entendu. Il n'intéresse personne.
Par contre, je constate qu'il n'a toujours pas été donné suite à ma demande de rencontre entre A. Rossinot, Jacques Rousselot et moi. En attendant, c’est la commune de Tomblaine et ses habitants qui en subissent principalement les conséquences.
Je regrette que la CUGN continue à nier les responsabilités du Maire de Tomblaine. Je n’ai jamais demandé de réunion avec les Maires environnants, j’ai juste demandé une rencontre entre les trois responsables principaux. Mais la CUGN tente sans cesse de contourner cette proposition en me renvoyant à des réunions qui n'aboutissent jamais et cela depuis des années. Elle associe à ces réunions d'autres parties (d'autres maires) dans l'intention de nier la compétence du maire de la ville principalement concernée, cela rend impossible tout progrès.
Il s'agit de posture politique détestable qui nuit à l'intérêt général. On pourrait me reprocher "laisse tomber ce combat de principe, laisse les faire !" Oui, mais ils ne font rien depuis si longtemps ! Est-ce cela la démocratie ? Aujourd'hui, ils me proposent un énième "comité de pilotage sécurité, circulation, stationnement et accessibilité" au stade Marcel Picot., qui aurait "été créé",
C'est très clair, le maire a le pouvoir de police, donc mes propositions doivent être prises en compte. La CUGN, propriétaire du stade et compétente en matière de voiries et de déplacement, doit financer les solutions.- Développer des parkings à quelques centaines de mètres du stade Marcel Picot, pour que les supporters ne s’engouffrent pas à proximité du stade.
- Permettre aux entreprises que je propose depuis si longtemps, sur la plaine Flageul, de s’installer, pour mutualiser des places de stationnement nombreuses les soirs de matches.
- Organiser des navettes gratuites pour les supporters abonnés, qui pourront ainsi déposer leur véhicule, par exemple au Parc des Expositions, ces navettes étant prioritaires après les matches.
- Intensifier les transports en commun avant et après les matches, du côté Saint-Max, comme du côté Tomblaine.
Sachez-le, en laissant pourrir la situation, ce sont les supporters, l'ASNL et les riverains qui continueront à en subir les conséquences.
Hervé Féron.
Tous les 2 ans, la ville de Tomblaine met à l’honneur ses jeunes sportifs, on le sait, Tomblaine est une ville dynamique, jeune et sportive. C’est la ville qui concentre le plus d’installations sportives en Meurthe et Moselle, qu’elles soient communales, communautaires ou régionales (stade Marcel Picot, stade Raymond Petit, Maison Régionale des Sports, COSEC, piscine du Lido, base de canoë kayak, Espace Jean-Jaurès…). La ville de Tomblaine a organisé deux départs d’étape du Tour de France cycliste en 2012 et 2014. Elle compte aujourd’hui 8 673 habitants pour 42 associations tomblainoises et 2250 licenciés sportifs dans des clubs tomblainois.
Des judokas et des gymnastes récompensés
A Tomblaine, le sport et l’éducation sont liés très étroitement : tous les enfants de CM2 partent 17 jours en classe de neige, tous les enfants qui sont allés à l’école, savent skier. Tous les enfants de toutes les classes, de toutes les écoles élémentaires pratiquent la gymnastique sportive encadrée par une monitrice municipale diplômée d’Etat, ce qui permet un lien avec le club de gymnastique Rondade Salto et des performances extraordinaires. Une classe sportive a même été créée au collège Jean Moulin. Tous les enfants de CM1, CM2, suivent un cycle canoë kayak, et avec la Communauté Urbaine, tous les enfants des écoles élémentaires vont à la piscine.
Cette soirée de récompenses a été honorée par la présence du footballeur Youssouf Hadji (63 sélections en équipe nationale du Maroc, 16 buts et finaliste de la Coupe d’Afrique des Nations en avril 2014, 2éme buteur de l’histoire de l’ASNL derrière Platini), le basketteur du SLUC Nancy Benjamin Sene, Mehdy Bouanane, Champion du Monde de Kickboxing, l’animateur-télé Marc Emmanuel et l’humoriste Julien.
Démonstration du club de Taekwondo de Tomblaine
De nombreuses récompenses ont été distribuées et pour cause, Tomblaine compte :
- 24 titres de vice-champions de Lorraine
- 41 titres de champions de Lorraine
- 8 titres de vice-champions de France
- 33 titres de champions de France
- 4 titres de champions d’Europe
- 1 place de 3éme en championnat du monde
- 2 titres de vice-champions du monde
- 3 titres de champions du monde
- 4 sélectionnés olympiques
Et … 1 champion du Cambodge !
Rencontre de Doriana Laurino, double championne de France de Kick-Boxing et Mehdi Bouanane, champion du monde de Kick-Boxing.
Lors de la cérémonie de récompenses aux jeunes sportifs tomblainois, le mercredi 1er juin, le Maire Hervé Féron a annoncé que la ville de Tomblaine avait été labellisée par la Fédération Française de Football et le Ministère de la Ville et des Sports dans le cadre du dispositif « Tous Prêts ».
C’est ainsi que Jean-Claude Dumas, adjoint au Maire, délégué aux sports, s’est rendu mardi 31 mai à Strasbourg, pour recevoir des mains même du Ministre des sports, Patrick KANNER, 32 invitations pour que des jeunes Tomblainois puissent assister à des matches de l’Euro 2016.
Un groupe de 10 filles, se rendra le lundi 13 juin au stade de France pour assister au match Irlande-Suède, avec bien-sûr le mythique Zlatan.
Et puis, samedi 25 juin, ce sont 22 garçons qui iront à Saint-Etienne, pour assister à un match des 8émes de finale.
Toujours dans le cadre de l’Euro 2016, Hervé Féron a annoncé l’organisation de plusieurs fan-zones sur la place des Arts à Tomblaine, à l’occasion des matches de l’équipe de France pendant le premier tour. Il s’agira de diffusion publique sur grand écran des matches :
- 10 juin à 21h : France-Roumanie
- 15 juin à 21h : France-Albanie
- 19 juin à 21h : France-Suisse
Les supporters sont invités à s’habiller en bleu.
La buvette ne vendra pas d’alcool et toute consommation d’alcool sera formellement interdite.
Nous avons appris hier, le décès de Monsieur le Président de la République Arabe Sahraouie Démocratique, Mohamed Abdelaziz. Nous partageons la peine de Madame la Ministre de la Culture, son épouse Khadija Hamdi, de sa famille et de tout le Peuple Sahraoui. Mohamed Abdelaziz était un ami, il avait consacré sa vie pour la liberté et le droit à l'auto-détermination du Peuple Sahraoui. Membre du Front Polisario, il menait depuis 40 ans cette quête de façon pacifiste, mais avec une grande détermination.
Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille et au Peuple Sahraoui.
Hervé Féron dans un article du journal "Le Monde" :
"Faire des travaux dans son logement, aider ses enfants à acheter leur appartement… Passer la cinquantaine, il n’est plus rare que les particuliers aient besoin d’emprunter. Chez le courtier en crédits Empruntis, les 50 ans et plus représentaient près de 15 % des demandes de financement en 2015, mais les plus de 60 ans, moins de 2 %.
Dans une question écrite au gouvernement, le 26 avril, le député Hervé Féron (groupe socialiste, républicain et citoyen) demandait au gouvernement les mesures que ce dernier entendait prendre afin de faciliter l’accès au crédit bancaire des personnes de plus de 60 ans. Pour argumenter sa question, le député soulignait « l’espérance de vie et la qualité de vie des seniors [qui]augmentent depuis plusieurs années, rendant légitimes les demandes d’un nombre croissant de personnes de plus de 60 ans d’accéder au crédit bancaire »."
« Les banques prêtent aujourd’hui plus facilement aux seniors, qui s’endettent pour acheter une résidence secondaire ou pour réaliser un investissement locatif », relève Maël Bernier, directrice de la communication du site Meilleurtaux.com. Elles seraient même moins frileuses face à un senior propriétaire que face à un jeune emprunteur
dont les revenus sont irréguliers ou qui est en contrat à durée déterminé (CDD).
Nombreux obstacles
« A chaque âge ses avantages. Le patrimoine constitue généralement la force des seniors », explique Cécile Roquelaure, directrice de la communication et des études chez Empruntis. Rappelons qu’à partir de 60 ans, près de trois ménages sur quatre sont propriétaires d’au moins un bien immobilier, selon une étude du Crédit foncier datant de 2014.
Pour emprunter, les seniors doivent malgré tout faire face à de nombreux obstacles. « L’accès au crédit se complique surtout à l’approche de la retraite, aux alentours de 56 ans ou de 58 ans. Les banques n’ont pas de barème spécifique qui freinerait les prêts à partir de cet âge, mais le passage à la retraite, synonyme de baisse de revenus, réduit forcément les capacités de remboursement », explique Mme Roquelaure.
Pour en tenir compte, les établissements bancaires peuvent mettre en place un prêt à paliers. « Il permet d’adapter le montant des mensualités aux capacités de remboursement de l’emprunteur lors de sa vie active, puis au moment de la retraite », précise Maël Bernier.
Le vrai enjeu porte surtout sur l’assurance emprunteur qui garantit le prêt immobilier, notamment en cas de décès. Plus on avance en âge, plus il est difficile et coûteux d’assurer son crédit. « Fort logiquement, l’âge est considéré comme un facteur aggravant pour les problèmes de santé et donc comme un risque accru pour l’assureur », précise Mme Bernier.
Par exemple, pour un prêt de 150 000 euros sur quinze ans, l’assurance s’élève, en moyenne, à 0,37 % du capital prêté pour un souscripteur âgé de 40 ans, mais à 0,55 % s’il est âgé 55 ans. Soit 4 000 euros de plus sur la durée totale du crédit.
Nouvelles formes de prêts
En outre, l’emprunteur n’échappe pas au questionnaire de santé complet et, éventuellement, à une batterie d’examens médicaux. Les problèmes, comme le diabète ou d’un excès de cholestérol, engendrent par exemple des surprimes.
Les seniors ont souvent recours à la délégation d’assurance, permettant de s’assurer auprès d’un autre établissement que celui du prêt. Certains (Metlife, Axa, Suravenir, Cardif, etc.) proposent des contrats qui autorisent une adhésion souvent plus tardive que les établissements bancaires classiques, jusqu’à 85 ans, avec une fin de prestation d’assurance décès jusqu’à 90 ans.
Pour faciliter l’accès du crédit à la consommation des plus de 60 ans dont les revenus sont modestes, d’autres formes de prêts ont été développées ces dernières années. C’est le cas notamment du prêt viager hypothécaire proposé par le Crédit foncier. Son fonctionnement ? La banque prête une somme d’argent et prend en garantie une hypothèque sur un logement appartenant au senior.
L’emprunteur n’a pas de mensualités à payer, ni de prêt à assurer, le capital et les intérêts n’étant remboursés qu’à la fin de l’opération (souvent au décès de l’emprunteur).
« Il permet d’obtenir un capital ou une rente sans charge de remboursement mensuelle en apportant en garantie un bien dont l’emprunteur conserve la pleine propriété et la faculté de l’occuper, explique Nicolas Pécourt, directeur de la communication du Crédit foncier. Ces prêts, dont le montant moyen est de 90 000 euros, sont utilisés pour la rénovation du logement, pour percevoir un revenu complémentaire ou pour aider ses enfants et petits-enfants. »
Avec environ 700 contrats souscrits par an depuis son lancement, en 2007, cette formule peu connue peine à convaincre. Son taux d’intérêt élevé (supérieur à 6 %) n’y est sûrement pas pour rien.
> Vendredi matin à 10h30, Hervé Féron accompagnait Pierre Moscovici, Commissaire Européen aux Affaires Economiques et Monétaires, à la Fiscalité et à l'Union douanière, pour une visite de la Société Vénatech, à Vandoeuvre. C’est une société qu’il faut connaître, lauréat national du premier concours de création d’entreprise innovante, dit concours Allègre en 1999, Vénatech est devenue en 2015 le premier bureau d’études indépendant français en ingénierie acoustique. Passée de 5 à 55 salariés en 10 ans, cette société a multiplié son chiffre d’affaires par 30 lors de cette même période.
Pierre Moscovici s’intéressait à cette société car elle a bénéficié du plan Junker, comme quoi, l’Europe peut aussi aider le développement économique en France.
> Tout l’après-midi de vendredi a été consacré au Conseil de Communauté Urbaine, avec une attitude scandaleuse de Valérie Debord et de la majorité de droite de la CUGN, qui ont bloqué le projet de création de 36 logements sociaux à Tomblaine.
A noter tout de même, que dans la délibération n°8, la CUGN sollicite l’Etat sur le fond de soutien à l’investissement public local. Preuve que parfois, ce Gouvernement prend des initiatives heureuses. Si la droite de la Communauté Urbaine n’a pas arrêté de pleurer sur les baisses de dotations de fonctionnement, on remarque au passage, qu’elle n’oublie pas de solliciter l’Etat sur un programme de 3 618 000 euros, pour une participation de l’Etat sur le fonds de soutien d’1 809 000 euros. Merci qui ? Merci François Hollande !
> Vendredi soir à 20h15, le Député a participé à l’Assemblée Générale de la MJC Lorraine, MJC toujours novatrice, participative, une soixantaine d’activités proposées, les responsables sont de vrais militants de l’Education Populaire et première MJC de France en nombre d’adhérents (4 000). Une activité a particulièrement attiré l’attention du Député : la démarche « être parent ». Il s’agit de la réalisation de courtes vidéos, à destination des parents autour de l’éducation, l’alimentation, le sommeil, l’addiction aux jeux... Il s’agit de conseils, de formations au dur métier de parents, voire une invitation à réfléchir ensemble. La démarche est innovante, Hervé Féron a proposé une aide de 10000 € sur la réserve parlementaire et a organisé un prochain rendez-vous au Ministère de la Famille, pour tenter d’obtenir une reconnaissance et un rayonnement plus important.
> La journée de samedi a été consacrée à la célébration de mariages et d’un parrainage, de rencontres de jeunes, des noces de platine et fêtes des voisins. Gros rythme mais événements sympathiques.
> Dimanche, à 11h30, Hervé Féron, au côté du Maire de Jarville, Jean-Pierre Hurpeau, participait à une commémoration de la Bataille de Verdun, et déposait une gerbe au Monument aux Morts. L’après-midi à 16h30, le Député, après une minute de silence, donnait le coup d’envoi du Challenge Raoul PIZZI, à Tomblaine. (Il ne s’est rien cassé). Plus sérieusement, c’était un vrai moment de solidarité et beaucoup d’émotion pour ceux qui ont connu Raoul PIZZI.
> Ce Lundi à 11h, Hervé Féron faisait visiter l’Assemblée Nationale à une classe du Lycée Marie Marvingt, à Tomblaine.
Je signe parce que les Maisons des Jeunes et de la Culture sont des acteurs essentiels de l’éducation populaire dans notre pays. C’est au travers de l’apprentissage, des rencontres, de la participation et du partage que les MJC parviennent à réconcilier le vieil antagonisme mis en lumière par Jean-Jacques Rousseau entre éducation individuelle et éducation citoyenne.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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