Hervé FERON

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Marianne d'or 2020

 

Avec Alain Trampoglieri, fondateur en 1984 avec Edgar Faure de la Marianne d'Or 
et Jean Rottner Président de la Région Grand Est :

 

 

 

Une deuxième Marianne d’Or.

En 2017, j’avais eu la bonne surprise de me voir décerner une Marianne d‘Or, pour mon action culturelle en tant que Maire à Tomblaine.
La Marianne d’Or est « la » récompense honorifique attribuée aux maires pour rendre hommage à leur travail. Cela m’avait, bien sûr, fait plaisir, d’autant que cette reconnaissance était clairement à partager avec tous mes collègues, élus, employés municipaux et bénévoles associatifs.

Voilà qu’une deuxième Marianne d’Or, la Marianne d’Or 2020 de la Solidarité, me sera remise ce matin, mercredi à Paris, à la Maison de la Région Grand Est. 
C’est exceptionnel et c’est un honneur pour Tomblaine et ses habitants.

A cette occasion, Jean Rottner, Président de la Région Grand Est, se verra également remettre une Marianne d’Or de la Solidarité,  mais pas en tant que Maire, en tant « qu’urgentiste de profession qui s’est immédiatement mobilisé et a repris sa blouse blanche »...
Car, en effet, la Marianne d’Or, cette année, a une connotation particulière, elle valorise les actions et attitudes solidaires face à la crise sanitaire.
C’est pourquoi, je suis assez fier d’être le seul Maire de Lorraine qui reçoive une Marianne d’Or cette année et, qui plus est, une Marianne d’Or de la Solidarité !
Cérémonie officielle, ce matin à Paris, mais la Marianne d’Or me sera remise protocolairement en septembre à Tomblaine et nous mettrons alors à l’honneur toutes celles et tous ceux qui méritent au moins autant que moi cette distinction : les personnels soignants, bien sûr, les enseignants, les personnels municipaux, les bénévoles mobilisés si nombreux et si
spontanément. Nous n’oublierons jamais celles et ceux qui ont été au rendez-vous de la solidarité.

Françaises, Français, chers compatriotes, restez au lit !

Françaises, Français, chers compatriotes, restez au lit !

L’Etat de mensonge permanent. Le président de la République va (encore) parler à la télévision. Je vous invite à rester couchés sous la couette et à prendre un bon bouquin...

En ces temps troublés de l’histoire, qui ressemblent tellement à l’après-guerre, sauf qu’après la guerre, le Peuple de France avait retrouvé espoir et solutions, pour vivre dignement et solidairement, grâce au Conseil National de la Résistance... époque où un homme politique pouvait être aussi un héros, parce qu’il avait souffert avec le Peuple et parce qu’il en était proche.
En ces temps troublés, aujourd’hui, le Peuple de France n’avait pas mérité autant de mépris. Et pourtant le nouveau gouvernement d’Emmanuel Macron est une véritable injure à l’histoire... la vraie histoire, pas celle qu’il va tenter de nous raconter en ce triste 14 juillet 2020 à la télévision.

Tout d’abord, le bilan... en trois ans de mandat seulement, l’intérêt porté par la justice française à ses ministres ou proches collaborateurs, s’apparente à une hécatombe. Nous avons une pensée, pas vraiment émue, pour mesdames et messieurs Benalla, de Rugy, Delevoye, Richard Ferrand, Alexis Kohler, Muriel Penicaud, Laura Flessel, etc.
Et voilà qu’aujourd’hui dans le casting de Castex, ils nous enfilent Eric Dupond-Moretti, l’avocat de Balkany... Je sais, je sais... un avocat doit pouvoir défendre tout accusé, quel qu’il soit... Mais de là à nommer dans la foulée ce même avocat ministre de la justice, il y a quelque chose de terriblement symbolique... L’avocat qui hier fustigeait les juges ! Cela sonne comme une déclaration d’intention présidentielle faite de mépris envers les juges et envers le Peuple.
Dupond-Moretti a pour lui qu’il est beau parleur, mais on peut continuer à s’interroger, quand chacun sait qu’il n’acceptait de défendre que les causes qui lui permettaient d’être médiatisé ou surtout lorsque ses clients avaient les moyens de s’offrir ses gras honoraires... Et puis, lorsqu’en 2019, ce boulimique des médias était monté sur les planches, j’avais trouvé intéressant de programmer « Eric Dupond-Moretti à la barre » dans le festival de théâtre de notre ville. Lorsqu’il nous a été annoncé que pour une heure quarante de spectacle, seul en scène, ce monsieur, qui n’était tout de même pas un grand du théâtre français, demandait la modique somme de 32 000€ (hors taxe !), auxquels il fallait ajouter de nombreux caprices de star... Nous avons abandonné ce projet, nous trouvions alors impudique le mélange des genres. Alors, oui monsieur le Président ce message que vous envoyez aux Français est Aujourd’hui une injure.

Je ne vais pas tous les énumérer, mais je me permettrai quelques remarques sur les autres ministres de ce gouvernement Macron façonné à l’énergie du désespoir.
- Un premier Ministre bien gentil... on l’aimait bien au village... Mais surtout ancien secrétaire adjoint à l’Elysée de Nicolas Sarkozy. Vous avez nommé un bon commis de l’Etat, il sera aux ordres. De ces très haut fonctionnaires qui coutent si cher à la France, qu’ils administrent en technocrates sans humanité, mais vous l’avez choisi bien rond, l’accent chantant, maire d’une petite commune, pour mieux faire passer la pilule des mesures anti-sociales que vous avez décidé de mettre en oeuvre coûte que coûte, comme pour ignorer la déroute que les Français vous ont infligée lors des récentes élections municipales.

- On peut s’étonner de revoir Blanquer à l’Education Nationale, après sa gestion désastreuse pendant la crise sanitaire... C’est encore un mauvais signe donné aux enseignants qui sont en souffrance.

- J’ai connu Barbara Pompili à l’Assemblée Nationale, je l’ai croisée très souvent, nous étions dans la même commission, je pense d’elle qu’elle est arriviste, elle était prête à tout pour devenir ministre, flattant les uns, donnant des leçons aux autres, populiste à souhait, elle était détestée pour ses méthodes dans son propre camp (qu’elle a d’ailleurs trahi si souvent). C’est triste, mais le jour où elle ne sera plus ministre, on ne se souviendra plus d’elle.

- On nous ressert aussi le pauvre Olivier Véran à la santé, fusible après un autre fusible Agnès Busyn, qui, elle, a fini disjoncter et péter les plombs. Olivier Véran, qui a dû assumer tous les mensonges d’Etat sur le manque de masques, sur le manque de tests, sur le manque de respirateurs, puis sur les achats massifs de respirateurs inadaptés, celui qui a dû escamoter autant que possible l’incurie de l’Etat et des ARS ...
Un machin a été inventé pour légitimer toute cette incohérence nationale « le Ségur de la santé » sorte de séminaire en obstétrique qui accouchera d’une augmentation mensuelle de 183€ par professionnel de santé, quand les professionnels, eux, espéraient 300€ nets minimum. Parcequ’il ne s’agissait pour eux que de rattraper le retard des rémunérations dû au gel du point d’indice depuis 2010 !!! Ils ne demandent pas l’aumône, savez-vous que les infirmiers français ont une des rémunérations les plus faibles de toute l’OCDE ?
Quant aux postes de soignants promis à la création, on attendra pour voir, car on a déjà trop souvent vu le film, celui du mensonge d’Etat permanent. Avez-vous remarqué, par exemple, que, pendant la crise, le directeur de l’ARS de la Région Grand Est a été remercié pour avoir dit que le plan prévu pour équilibrer le budget du CHU de Nancy, visant à supprimer à nouveau 598 postes et 174 lits sur les cinq prochaines années serait maintenu ! Il a été écarté, car cela paraissait cynique en pleine crise sanitaire, ce n’était pas politiquement correct de dire l’affligeante vérité... et bien aujourd’hui ce plan est confirmé ! Le fusible devra donc remplir son office.

Le Ségur de la santé ! Monsieur le Président, savez-vous qui a dit « la modeste et douce bienveillance est une vertu qui donne plus d’amis que la richesse et plus de crédit que le pouvoir » ? Cela est si pertinent que cela pourrait avoir été écrit hier matin, à propos de nos personnels soignants pour la bienveillance et de nos gouvernants pour la richesse et le pouvoir ?
Et bien c’est la Comtesse de Ségur qui a écrit cela au début du 19ème siècle...

- Et puis, le pire est arrivé peut-être avec Roselyne Bachelot. A la recherche du temps perdu, ou à la recherche de ministres bling-bling, vous avez donné la Culture à celle qui est en tournée show-business depuis huit ans, exploitant, à des fins privées, la notoriété acquise par son ministère sous Sarkozy et cultivant dans les médias l’image d’une amuseuse de corps de garde, à base de blagues grossières et d’humour graveleux. J’ai trop de respect pour les clowns pour oser la comparaison, mais là c’est tout le monde de la Culture que vous insultez, j’entends la Culture populaire, au sens que lui donnait Antoine Vitez « la Culture Populaire est la Culture élitaire pour tous ». Vous nous offrez du désespoir que vous habillez en rose bonbon.
Mais surtout, elle a été ministre de la santé, je me souviens d’elle lorsqu’une nuit nous avions proposé un amendement pertinent à l’Assemblée et qu’elle avait mission de le mettre en échec. Comme nous étions en majorité. Elle a pris la parole pendant trois quarts d’heure pour nous raconter n’importe quoi en nous narguant, car chacun savait qu’elle pourrissait volontairement le débat et jouait la montre pour laisser le temps aux député parisiens de son camp de revenir à l’Assemblée et voter contre notre amendement, pourtant d’intérêt public. Elle n’a honte de rien. J’aurai aussi l’occasion un jour de parler de mes nombreuses interventions dans l’hémicycle pour défendre les vertus bactéricides et virucides du cuivre, démontrées à l’époque par d’éminents médecins, universitaires et scientifiques et on parlait déjà du coronavirus. Elle a toujours refusé les propositions d’équipements dans les hôpitaux français que je formulais, sous la pression des lobbys et de ses conseillers...
Et dans ses conseillers, son fils Pierre Bachelot, qui après avoir été son collaborateur parlementaire, puis son conseiller quand elle était ministre, fut même chargé de mission à l’INPES, établissement sous la tutelle du ministère de la santé et donc de sa mère Roselyne Bachelot, auprès de laquelle il était déjà employé comme membre du cabinet...

Monsieur le Président, votre nouvelle intervention télévisée n’aura d’autre intention que de vous positionner pour l’élection présidentielles de 2022, mais quand répondrez-vous de vos actes et de vos décisions auprès des Français ?
Hervé Féron.

Bel article dans "Vie Nouvelle".

Le magazine "Vie Nouvelle" compte plus de 70 000 abonnés.
Je vous communique cet article paru dans l'édition de "Vie Nouvelle"
du mois de mai, qui concerne mon livre "le passeur d'ardoise".
Vous pouvez le commander dans toutes les bonnes librairies ou encore sur les plateformes internet...
 

C’est tous ensemble qu’on gagnera !

 
 
Monsieur le Président,
 
Je suis le maire d’une commune de taille moyenne, Tomblaine, en Meurthe et Moselle.
Et pendant toute la crise sanitaire, une véritable mobilisation générale volontaire et généreuse s’est spontanément déclarée, comme dans beaucoup de villes et villages en France, pour organiser la solidarité, la bienveillance et la protection de la population.
Vous êtes intervenu à plusieurs reprises à la télévision à propos du made in France.
Dès le vendredi 17 janvier, vous vantiez le savoir faire à la française en affirmant que le made in France était le résultat de votre politique pro-investissement, vous aviez même attribué ce que vous considériez comme la réussite du made in France, au travail de vos ministres...
Un mois et demi plus tard, le 31 mars, en plein confinement, visiblement, vous déchantiez, puisque vous annonciez de vos voeux « le jour d’après » en disant que « rien ne sera plus comme avant », vous déclariez qu’il nous faudrait rebâtir notre souveraineté nationale et européenne, à l’issue de l’épidémie. Vous affirmiez « Il nous faut, avant toutes choses, produire davantage en France, sur notre sol »
Vous aviez raison de le dire, mais vous auriez eu raison de le faire.
En effet, la faute de l’Etat, sa négligence, l’impréparation face à une telle crise sanitaire, plus que le virus lui-même, ont causé des dommages sans précédent en France sur le plan sanitaire, économique et sociétal.
Nous avons eu besoin de masques, la France n’en produisait pas et ne disposait pas des stocks nécessaires, il a fallu en commander à certaines grandes puissances économiques étrangères. Nous avions besoin d’équipements sanitaires, de vêtements de protection, comme des surblouses pour les personnels soignants, de solution hydro alcoolique, de tests... La France n’en produisait pas et chaque fois il a fallu en commander à ces grandes puissances économiques étrangères, ce qui nous plaçait alors en état de dépendance nationale ! En abandonnant ainsi notre destin commun à des puissances étrangères, dont certaines ont d’ailleurs honteusement spéculé sur ce drame planétaire pour renforcer leur pouvoir économique et politique, ce sont les valeurs de la République qui ont été abandonnée et c’est tout naturellement que se dessine une autre conception de la société aujourd’hui, parce que nous ne maitrisons plus rien. C’est notre économie, la solidarité, les emplois et nos libertés les plus fondamentales qui sont mis à mal.
Voilà que nait alors une société où on ne s’approche plus de l’autre, où on ne se touche plus, on s’évite. C’est l’avènement du télé travail et de la vidéo-conférence, on parlera bientôt plus aux machines qu’aux humains, on se déplacera de moins en moins et surtout, on ne voyagera plus pour aller à la rencontre de l’autre. Une société déshumanisée, où il est fortement déconseillé d’aller boire un canon au bistrot du coin avec un copain, où il ne sera plus possible de prendre son petit-fils dans ses bras, une société sans amour et sans émotion. Et bien sûr une société où les gestes barrière et la distanciation physique dissuaderont de manifester et de crier sa colère...
Il me semblait que la politique consistait à proposer d’apprendre à faire société. Or, aujourd’hui, l’objectif est l’a-sociabilité, légitimée par le pessimisme et la peur entretenus. Notre société est redevenue primaire parce que nos dirigeants ont été ignorants. Et c’est parce qu’ils ont été ignorants qu’on ne sait toujours pas se protéger du virus, alors on organise la phobie collective. Le comble, c’est qu’on n’engage pas à se protéger du virus, mais on incite plutôt à se protéger des autres.
Une grande avancée en 1901, fut la Loi qui instituait le droit de s’associer, n’est-elle pas purement et simplement bafouée avec tout le concept d’Education Populaire, quand vous interdisez les regroupements au-delà de 10 personnes ? Votre projet qui s’appuie sur la catastrophisme est liberticide, il altère en permanence le Droit Humain.
Tout cela est très grave monsieur le Président, que va-t-on transmettre à nos enfants sinon le repli sur soi et l’égoïsme ordinaire pour sauver sa peau ?
Et puis, il y a eu des élections municipales, dans des conditions ubuesques, qui renforcent le peuple de France dans l’idée qu’il n’est plus entendu. Quand il y avait un roi, il avait des sujets. Aujourd’hui, il y a des citoyens, mais le sujet ça n’est pas le citoyen, ça n’est pas le peuple, le seul sujet, c’est la finance...
Vous ne faites aucun cas des résultats de ces élections, vous vous cachez derrière une armée de conseillers, de journalistes, d’experts, d’observateurs, ils sont bien pensants, sachants, bavards, donneurs de leçons. Il n’y a plus de télévision publique, il n’y a plus de presse républicaine, il n’y a plus que des intérêts privés.
Comme eux, vous n’avez pas compris que votre République en Marche vient de prendre une raclée mémorable. Vous ignorez que la très grande majorité des français est aujourd’hui en résistance citoyenne contre votre République.
Le chaos est ainsi volontairement organisé et, sans même une période de trêve par pudeur, vous vous acharnez à nouveau sur tout ce qui fait la solidarité nationale. Vous repartez dans votre combat contre les grandes avancées issues du Conseil National de la Résistance les retraites, le droit à l’accès aux soins pour tous... Alors qu’il y a urgence à protéger la population.
Mais cette population, elle ne demande qu’à se relever de cette épreuve, il y a en France des tas de gens qui sont prêts à inventer, à innover, à créer, il suffirait juste qu’on leur accorde confiance et reconnaissance.
Savez-vous, par exemple qu’à Tomblaine, dans ma ville, une start up BMGS a été crée au mois d’avril par des jeunes qui, en quelques semaines, ont réussi a monter une unité de production de masques chirurgicaux. Ces jeunes sont admirables, ils ont eu le courage d’entreprendre dans l’intérêt général. Aujourd’hui, ils ont obtenu tous les agréments et certifications nécessaires, ils produisent tout, de la matière première au produit fini, en made in France ! Ils ont une capacité de production de quatre millions de masques par mois !!! Et savez-vous aussi que dans le même temps la plupart des décideurs, des collectivités, des hypermarchés, continue à commander des millions de masques du même type en Chine ! Savez-vous que les CHU de France ont commandé quatre milliards de masques du même type en Chine ? Cela signifierait-il que vos annonces à la télévision ne seraient pas suivies d’effets et ne seraient que des coups de communication ?
Alors, je voudrais juste lancer deux appels, profitant du fait que, fréquemment, mes interpellations sur les réseaux sociaux sont suivies par des millions de personnes.�- D’abord à vous, monsieur le Président, pourriez vous intervenir et faire en sorte que les commandes publiques liées à la sécurité nationale, comme c’est le cas pour ces masques, soient adressées exclusivement aux petites entreprises françaises comme cette start up BMGS ?
-Et puis je m’adresse aux décideurs privés, aux chefs d’entreprises, aux maires des petites et moyennes communes, autant d’acteurs de l’économie française, au quotidien et dans la proximité, « n’achetez plus vos masques à l’étranger, commandez-les à ces petites entreprises qui ont pris des risques pour faire face solidairement à cette crise sanitaire. C’est du bon sens, c’est de l’emploi, c’est de la solidarité ! »
A Tomblaine BMGS-France Cardio :
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C’est tous ensemble qu’on gagnera !

Une belle équipe

On n'avait pas pu fêter la victoire à cause du confinement, ça y est, c'est fait ! Une belle équipe, un beau projet, une belle ambition. Je suis fier de mes co-listiers, 75,21% ? Ma parole, les tomblainois nous ont reconnus !!! Et merci à Abdes Ouaddou, sélectionné 80 fois en équipe nationale du Maroc et excellent éducateur de football, porteur de valeurs nobles, merci à Hinde Magada de continuer à être avec nous. On a fait la fête au Commerce chez Isidore Laurino et Maryline Vairelles.
Seules la victoire et la fête ensemble sont belles ! Ici c'est ? Tomblaine !
 

La victoire.

À l'invitation de Matthieu Leiritz, je suis allé à la permanence du PS où les socialistes de Nancy fêtaient la victoire de Mathieu Klein. J'ai été très touché par l'accueil chaleureux...
Et surtout lorsque Mathieu Klein et moi, nous nous sommes salués, les applaudissements spontanés ont montré que les socialistes de Nancy avaient plaisir à nous voir réunis... sur les autres photos, Hinde Magada, la petite reine du selfy, a immortalisé l'instant avec Tolga Gul, Mathieu Klein, le sénateur Olivier Jacquin, Hinde et moi...
Quelqu'un m'a charié parce que j'avais passé le pont de Tomblaine, j'ai répondu que depuis dimanche dernier, je n'avais plus besoin de visa pour venir à Nancy^^
 
 
 

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