Actualité

La gratification des stages dans le secteur public doit être financée

Monsieur Hervé Féron alerte Monsieur le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche sur les difficultés rencontrées par les étudiants des filières de préparation aux carrières sociales dans la recherche de stages. Ces périodes d’immersion en milieu professionnel font l’objet d’un défraiement dès lors que leur durée excède deux mois. La loi relative à l’enseignement supérieur et à la recherche du 13 juillet 2013 a étendu l’obligation de versement d’une gratification aux stages effectués dans une administration publique, une assemblée consultative ou tout autre organisme d’accueil qui était auparavant exclu du bénéfice de ces dispositions. Si l’on ne peut que se réjouir de cette mesure forte qui garantit l’égalité des étudiants ainsi que des conditions d‘études dignes pour chacun, on constate cependant que son vote n’a pas été accompagné des moyens financiers nécessaires pour assurer son application. Cette carence a des répercussions graves dans certains domaines de formation, notamment pour les cursus préparant aux métiers du social dont l’essentiel des débouchés se situe dans le secteur public. Les étudiants sont ainsi confrontés au refus massif des administrations de les prendre en stage car elles ne sont pas en mesure de procéder au paiement de ces défraiements. La situation est aujourd’hui critique et appelle une solution de toute urgence. Pour exemple, à l’IRTS de Lorraine, près de 80% des 500 étudiants dont l’accomplissement d’un stage est indispensable à la validation de leur diplôme sont toujours à la recherche d’un employeur potentiel alors que la période d’immersion en milieu professionnel démarre dans à peine un mois ! Pourtant, la gratification minimale accordée à un stagiaire reste d’un montant relativement modeste, équivalant à 12,5% du plafond horaire de la sécurité sociale, soit 436,05 euros par mois exonérés de charges sociales pour les employeurs. Le Gouvernement a annoncé une enveloppe de 5,3 millions d’euros afin de permettre aux administrations d’accueillir des stagiaires et de sortir de cette impasse. Il lui demande de bien vouloir débloquer ces fonds en urgence afin de ne pas pénaliser les étudiants et de leur permettre de mener à bien leur cursus de formation. Il lui demande aussi de conditionner l’attribution de cette dotation à son utilisation exclusive pour indemniser les stagiaires.

 

Hervé Féron appelle à de meilleurs conditions de travail et à des moyens supplémentaires pour les greffiers

Monsieur Hervé Féron alerte Madame la Garde des Sceaux, Ministre de la Justice sur la situation des personnels des greffes. Il l’a déjà interrogée à ce sujet mais sa question est restée sans réponse, en dépit de la nécessité d’apporter dans les meilleurs délais des solutions aux difficultés rencontrées par la profession. Chargés d’assister le juge dans l’exercice de ses fonctions et d’authentifier les actes juridictionnels, les greffiers remplissent des missions indispensables au bon fonctionnement de la justice. Dans la pratique, leurs activités sont variées et dépassent les prérogatives qui leur ont été dévolues par la réglementation, avec par exemple l’accomplissement des tâches administratives et de gestion de la juridiction. Le malaise grandit aujourd’hui dans la profession, les greffiers se sentant déconsidérés en raison de l’absence de reconnaissance à sa juste valeur du travail remarquable qu’ils accomplissent au quotidien. Le rapport du groupe de travail présidé par Pierre Delmas-Goyon, Conseiller à la Cour de Cassation, chargé de réfléchir au « juge du 21ème siècle », a proposé la création d’un statut de greffier juridictionnel dont les prérogatives seraient étendues, ainsi que des revalorisations statutaires. Si ces suggestions vont dans le bon sens et répondent au moins partiellement aux attentes des greffiers, les membres de la profession attendent désormais des actes correspondant à ces annonces. Outre la question du statut se pose également celle des effectifs. Depuis plusieurs décennies, les greffiers tout comme les autres personnels judiciaires sont confrontés au manque criant de moyens humains. Combiné à l’accroissement des contentieux, cette situation conduit à une détérioration préoccupante des conditions de travail et de l’ambiance au sein des Tribunaux. Les personnels en dépit de leur investissement arrivent à saturation. L’institution judiciaire n’est pas une administration comme les autres, ne serait-ce que par la place qu’elle occupe dans l’ordre constitutionnel et son rôle en matière d’équilibre des pouvoirs. La Justice est une mission régalienne de l’Etat et elle doit le rester afin de garantir son égal accès à chacun et l’égalité de tous devant la loi. Cependant, elle doit pouvoir bénéficier des moyens nécessaires à l’accomplissement de ses missions afin de rendre cette égalité effective. Il lui demande ainsi les suites qui sont envisagées par le Gouvernement quant aux conclusions de la réflexion menée sur le système judiciaire. Il lui demande également de bien vouloir débloquer des moyens supplémentaires pour répondre au mécontentement grandissant de la profession. Aujourd’hui, il y a urgence, d’une part à prendre en considération les questions posées par les députés de la République et à leur répondre, d’autre part à prendre en considération le mouvement de protestation qui s’amplifie chez les professionnels désespérés.

 

"Bienvenue en Palestine"

Sorti le 10 février dernier, « Bienvenue en Palestine » relate les périples de plusieurs voyageurs lorrains dans les territoires occupés par Israël dont Hervé Féron qui a rassemblé dans cet ouvrage ses propres « carnets de route ». Il y décrit le quotidien auquel sont astreints les habitants de ces territoires et dénonce les pratiques d’Israël vis-à-vis de cette population.

Edité chez Kairos, vous pouvez vous procurer cet ouvrage par commande auprès de toutes les librairies ou sur Internet (FNAC, Chapitre, …). Les bénéfices sont intégralement reversés à l’Association France Palestine Solidarité (AFPS).

 

Bienvenue en Palestine

 

La semaine du député-maire

Hervé Féron était invité à prononcer le discours de clôture de la journée "La numérique au féminin" organisée le jeudi 27 mars à l'IUT Nancy-Brabois. La presse locale a largement relayé cet évènement. Elle a juste oublié de mentionner qu'Hervé Féron était présent.

 

2ème édition de la journée "Le numérique au féminin"



Hervé Féron est allé vendredi à l'invitation du proviseur du lycée Varoquaux, rencontrer les jeunes dans le cadre des 10èmes journées citoyennes organisées par le Comité Départemental de l'Accès au Droit. La presse locale a largement relayé cet évènement. Elle a juste oublié de mentionner qu'Hervé Féron était présent.

 

Les 10èmes journées citoyennes au Lycée Varoquaux



Enfin, mercredi, Hervé Féron a réuni les 46 scrutateurs et les 140 assesseurs qui ont permis le bon déroulement des opérations de vote lors des élections municipales.

 

Soirée des scrutateurs et assesseurs

 

Retour sur les élections municipales

Malgré la peine qui est la nôtre, il faut bien vous parler un peu de politique. Le résultat des élections à Nancy est particulièrement inquiétant pour la Communauté Urbaine et les Grands Nancéiens. Vous avez été nombreux à suivre sur ce blog les informations que nous vous donnions, malheureusement il n’a pas été possible de faire transmettre ces informations dans la presse locale. C’est un parti pris regrettable.

La nature de la dette, le mode de gouvernance, les relations exécrables, la concentration des pouvoirs, les petits arrangements entre amis que l’on place aux postes qui vont bien juste avant les élections municipales, les délégations de service public, les contrats, concessions et autres largesses qui nous engagent de façon tout à fait irresponsable pour des dizaines d’années, rien de tout ça vous a été dit et pourtant c’était le véritable enjeu. Imaginez un instant qu’Hervé Féron ait refusé la proposition faite à deux reprises par des journalistes de l’Est Républicain de participer à un débat avec André Rossinot, il en aurait eu pour des mois à lire dans la presse locale qu’il avait refusé le débat. Or, Hervé Féron a accepté, c’est André Rossinot qui a refusé et ça, vous n’en avez pas lu un seul mot dans la presse. Ainsi, André Rossinot, quand il a le pouvoir, ne permet pas le débat et quand il ne l’a pas, comme par exemple dans cette période électorale, il refuse le débat.

Hervé Féron a réalisé aux municipales à Tomblaine le plus gros score pour la Gauche de l’agglomération nancéienne et un des plus gros scores pour la Gauche de Lorraine. Le lendemain du premier tour, un bug malheureux n’a pas permis à la presse quotidienne de dire un seul mot sur cette victoire d’Hervé Féron. Etrange, étrange… Le bug dépassé, le mardi, seuls les résultats de Tomblaine étaient communiqués, étaient passées à la trappe les interviews et photos sollicitées par les journalistes le dimanche. Pas de débat, pas d’article, pas de photo, impossibilité d’exister entre le premier et le deuxième tour, alors que dire la vérité au grand public, c’était leur faire savoir que l’un des grands enjeux de la campagne de Mathieu Klein était de faire barrage au système Rossinot.

Le dimanche du deuxième tour, en grande majorité, les maires qui avaient été élus les jours précédents étaient en photo avec article dans la presse quotidienne, eh bien, Hervé Féron ne l’était pas, étrange, étrange… Il a fallu attendre le lundi, il est important de noter que le commentaire est d’ailleurs erroné puisqu’il est dit « le changement dans la continuité (…) même nombre d’élus que lors de la dernière mandature pour la majorité conduite par Hervé Féron (25) ». Ça n’est pas vrai, ça n’est pas le changement dans la continuité puisque la liste conduite par Hervé Féron est renouvelée à 42% et qu’un candidat sur quatre a moins de 25 ans, ce qui n’a été le cas nulle part ailleurs en Meurthe-et-Moselle. Et puis, il est faux de dire qu’on compte le même nombre d’élus dans la majorité conduite par Hervé Féron puisque lors du dernier mandat, il y avait 24 élus, et qu’il y en a désormais 25. Cette liste avait fait 65%, elle en a fait 67,14%. Ça n’est pas très grave, ce ne sont que des erreurs, mais tellement fréquentes qu’elles sont remarquables.

Pendant ce temps-là, André Rossinot est plus arrogant, méprisant que jamais. Le soir du deuxième tour, croisant Hervé Féron à la Préfecture, il a eu la grande médiocrité de le chambrer. Un soir comme celui-là, où beaucoup étaient dans la peine, il s’est permis de faire une de ses plaisanteries d’une stupidité affligeante. C’est médiocre, c’est tout. Vous avez pu lire sur ce blog dès le dimanche matin la réaction d‘Hervé Féron à la terrible nouvelle du décès de Michel Dinet. Lorsque les médias sont venus l’interviewer dimanche soir pour qu’il commente les résultats du deuxième tour des élections municipales, il a commencé chacune de ses interviews en disant « je souhaite tout d’abord parler de Michel Dinet ». Lorsque le lendemain matin dans la presse quotidienne, la rubrique « Les réactions des élus locaux » a fait parler André Rossinot ou Nadine Morano pour commenter le décès de notre ami Michel, il y a quelque chose de l’ordre de la nausée. Juste par amitié pour Michel Dinet et sa famille, Hervé Féron aurait aimé que l’on reprenne ses propos. Tant pis, nous vous invitons à continuer à fréquenter assidument ce blog si vous voulez avoir des informations.

La ville de Tomblaine a mis tous ses drapeaux en berne depuis dimanche matin jusque jeudi soir.

 

Hommage à Michel Dinet

Des témoignages m’arrivent au sujet de Michel Dinet. Le premier provient de Michel et Odile Massé :

 

"Amis,
La mort de Michel Dinet doit vous rendre tristes...
Nous n.oublions pas que, s'il est devenu notre ami, c'est un peu beaucoup grâce à Hervé, qui avait provoqué notre rencontre.
Voici l'une des dernières lettres qu'il nous a envoyées.
Nous vous embrassons.

Michel et Odile"

 

 

Lettre de Michel Dinet

 

 Lettre de Michel Dinet

 

Et le deuxième est signé Areski.

                                                                                                                              

"Fichu printemps, Adieu Michel !


L'hiver se passait bien. Plutôt doux, les études et sondages positifs,
il rapprochait Michel du temps de la quille si méritée.
Lui qui aimait gérer le temps pour ne pas avoir à le tuer. Tout ce temps passé au service des autres, n'allait-il pas se rebeller ?

Peut-être ce temps assassin lui murmurait-il ces mots
"prends du temps pour toi Michel, du temps à tuer. Sinon prends garde qu'il ne te tuât toi"

Arrive le temps du printemps avec ses premiers signes de mauvaise augure.
Ce 1er tour moins bon que prévu, les valeurs de Michel, nos valeurs, mises à mal par une vague Bleue et FN.

Sur une route qu'il pratiquait tant,
Michel se tue au volant !

Adieu Michel, tu étais l'un des meilleurs d'entre nous dans ce département !
Prends soin de Pierre Mauroy et prenez du temps, refaites le monde d'ici bas tout le temps.

Areski"

 

Isabelle Alonso vendredi soir à l'Espace Jean Jaurès

L'association AUX ACTES CITOYENS

vous propose un spectacle d'Isabelle Alonso, seule en scène

"ET ENCORE JE M'RETIENS"

vendredi 28 mars 2014
à 20h30

Espace Jean Jaurès
3 avenue de la Paix
54510 TOMBLAINE

Tarif : 16 €

Réservations :
Espace Jean Jaurès - 3 avenue de la Paix à TOMBLAINE
tél. 03 83 33 27 50

 

Aux Actes Citoyens

Fermeture du blog

Afin de se conformer à la législation en vigueur qui prohibe la diffusion au public de tout message ayant le caractère de propagande électorale à partir de la veille du scrutin, ce blog est fermé jusque dimanche soir minuit : aucune actualité ne sera publiée et aucune modification n'interviendra durant cette période.

N'oubliez pas, vous pourrez retrouver Hervé Féron dimanche soir sur France 3 Lorraine pour la soirée électorale du premier tour des municipales 2014 entre 21h15 et 22h.

 

Dernière minute

La droite tomblainoise qui était en sommeil depuis plusieurs années se réveille avec agressivité. Un tract est en cours de distribution ce vendredi en fin d‘après-midi, insultant, agressif vis-à-vis d’Hervé Féron. Ce tract utilise les arguments du Livre Blanc d’André Rossinot, il n’est que calomnies. C’est un tract photocopié noir sur blanc, sans mentions légales, sans imprimeur, sans signature. C’est donc de fait illégal mais de plus une grande lâcheté.

Il y a une quinzaine de jours, un journaliste de l’Est Républicain m’avait appelé pour me demander si j’accepterais un débat avec André Rossinot entre le premier et le deuxième tour des élections municipales. J’avais immédiatement dit oui et le journaliste avait rajouté « mais il faudra qu’André Rossinot l’accepte »… Il y a quelques jours, un autre journaliste de l’Est Républicain m’a contacté pour que je confirme que j’étais toujours d’accord pour ce débat, j’avais confirmé mon accord. Hier soir, ce journaliste m’a laissé un message sur mon répondeur téléphonique pour me dire qu’André Rossinot refusait ce débat, qu’il refusait catégoriquement tout face-à-face avec Hervé Féron.

Il n’y aura donc pas de débat jeudi entre 10h et midi comme prévu, par contre je serai sur le plateau de France 3 dimanche soir de 21h15 à 22h. J’avais cru comprendre que j’aurais en face de moi André Rossinot, je ne sais pas vraiment comment cela va se passer ?

Je trouve que c’est vraiment dommage pour la démocratie car depuis de trop nombreuses années, André Rossinot se met en situation de maîtriser systématiquement l’ordre du jour. Il préside, il dirige, c’est lui qui décide de quoi on parle, c’est lui qui attribue la parole, c’est lui qui décide de ne pas la donner, de prolonger la discussion ou de l’interrompre. Avec la perspective enfin d’un débat public, cela m’aurait donné l’occasion de poser un certain nombre de questions très importantes. Cela ne sera pas possible, dommage pour la démocratie.

Avant que de fermer ce blog pour 2 jours, je vous donne rendez-vous sur France 3 Lorraine dimanche soir de 21h15 à 22h.

 

Hervé FERON

 

Le député continue à travailler pendant la campagne électorale

Voici les dernières questions écrites qu'il a déposées auprès des Ministres intéressés :

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Monsieur le Ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie sur les transitions vers une industrie économe de matières premières. La consommation mondiale de matières premières ne peut poursuivre une évolution exponentielle qui conduirait à multiplier par trois la consommation des ressources naturelles d’ici 2050. Cela entrainerait des tensions sur les prix et l’accès aux matières premières générant une vulnérabilité stratégique pour l’industrie européenne. Par conséquent, le Conseil économique, social et environnemental préconise d’allonger la durée de vie des produits en favorisant le réemploi, le recours à la réparation et de développer le recyclage. De plus, il recommande que des cursus de formation aux démarches de l’éco-conception soient intégrés dans les formations aux métiers de l’industrie et de développer des formations continues certifiantes dans le secteur du recyclage. Ainsi, il lui demande son appréciation sur l’orientation qui semble être donnée aux pistes de réformes.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances sur l’accès à l’alimentation de qualité pour tous. Aujourd’hui 6 millions de Français sont en situation d’insécurité alimentaire. Or l’alimentation est essentielle, en plus de représenter un acte vital, elle est un plaisir à partager et un vecteur de lien social. Les politiques publiques ont dès lors un rôle essentiel à jouer pour mettre en œuvre dans la durée les impulsions et les cadrages nécessaires. Il convient avant tout de permettre l’accès des plus démunis à une alimentation équilibrée. A cette fin, le CESE préconise notamment d’expertiser la possibilité d’une baisse de la TVA sur les produits alimentaires bruts de première nécessité et de soutenir l’aide alimentaire en facilitant la coordination entre donateurs et distributeurs de produits, en rééxaminant le dispositif de déductions fiscales pour les dons. Aussi, il lui demande de quelle façon le Gouvernement envisage de prendre en compte ces propositions.

 

M. Hervé Féron  attire l’attention de Monsieur le Ministre de l’Education nationale sur la lutte contre la pauvreté des enfants. Actuellement plus de 800 000 enfants naissent chaque année en France et le rythme de création des équipements est très loin de couvrir les nouveaux besoins. Seulement 18% des enfants de moins de 3 ans sont accueillis en EAJE (établissements d’accueil du jeune enfant) et seulement 10% des enfants fréquentent ces établissements régulièrement. Les enfants issus de milieux défavorisés y ont peu accès. Or une offre d’accueil de la petite enfance de qualité et suffisante représenterait notamment une aide non négligeable pour les parents en recherche d’emploi. Lutter contre la pauvreté des enfants et leur garantir les meilleures conditions de garde et d’éveil doit permettre de prévenir l’exclusion.  Elle souhaiterait ainsi connaitre son avis et les mesures qu’il entend mettre en place en vue de l’augmentation du nombre de places à l’écoles préélémentaire destinée aux enfants de moins de 3 ans. Ainsi, il lui demande les mesures prises par le Gouvernement et les initiatives envisagées pour consolider les orientations de la loi sur la refondation de l’école envers la petite enfance. Il souhaite ainsi connaître ses intentions afin de renforcer la sensibilisation sur cette problématique.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Madame la Ministre des Droits des Femmes sur les enjeux liés à la conciliation de la vie professionnelle et de la vie familiale. Cette dernière constitue un enjeu majeur pour les parents de jeunes enfants, les parents d’enfants atteints de handicap mais également les descendants de personnes âgées en perte d’autonomie. Selon le CESE, il convient de favoriser une plus grande égalité entre les hommes et les femmes, de permettre aux femmes d’avoir les carrières qu’elles souhaitent et qui correspondent à leurs qualifications passe par une politique d’égalité dans la sphère familiale, et notamment par une restructuration profonde des congés parentaux devant inciter les ménages à mieux partager la prise en charge des jeunes enfants ( un congé parental plus court mais beaucoup mieux rémunéré, et qui bénéficie d’un bonus de mois supplémentaires s’il est partagé entre les parents). Toutefois, cette restructuration doit être accompagnée par la création de places d’accueil en nombre suffisant d’autant plus qu’en France, le taux d’emploi des femmes et le taux de natalité sont élevés. Sans ce rééquilibrage des tâches, les femmes tendent à arbitrer entre maternité et carrière professionnelle.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Ministre déléguée auprès du ministre du Redressement productif, chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l'Innovation et de l'Economie numérique sur l’avis du CESE « pour une gouvernance ouverte et équitable d’Internet ». Internet est devenu un espace informationnel mondial. Il symbolise la communication généralisée et le brouillage des frontières entre les territoires. Les grandes questions au cœur de la gouvernance internationale de l’internet sont notamment la menace de sa neutralité, la protection des données personnelles, la cybercriminalité, le respect de la propriété intellectuelle. Il convient, par conséquent de construire un cadre de gouvernance internationale, et ce en développant une réflexion autour de la reconnaissance d’Internet comme une ressource commune et ce dans un combat plus large contre la fracture numérique. Toutefois, la conférence mondiale des télécommunications de Dubaï en 2012 a souligné les divergences de vues entre les pays, les Etats-Unis plaidant pour un internet libre, ouvert, les pays émergents pour un contrôle renforcé de l’Etat et l’Union européenne favorable à la promotion d’une gouvernance multi-acteurs. Il lui demande donc de bien vouloir préciser les pistes de réflexions qui sont les siennes en la matière.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé sur la consommation trop importante d’antibiotiques par les français. Victimes de leurs succès les antibiotiques sont trop souvent considérés comme un remède qui soigne tout, tout de suite. Or ils ne peuvent rien contre les maladies d’origine virale et sont efficaces uniquement contre les maladies d’origine bactérienne. Ils ne soulagent pas directement les symptômes et ne permettent pas de guérir plus vite. Or, la corrélation entre consommation d’antibiotiques et apparition de résistances est très forte. Des bactéries infectieuses réussissent à s’adapter, à un rythme de plus en plus soutenu, à de nouveaux traitements ou à de nouveaux milieux, si bien que certains antibiotiques actuellement disponibles pourraient ne plus être efficaces d’ici à quelques années. Dans certains cas aujourd’hui, les médecins se trouvent en présence de patients pour lesquels ils n’ont plus d’antibiotiques disponibles pour les soigner. En conséquence, il lui demande quelles mesures elle entend mettre en place afin de lutter contre la surconsommation de ces produits, prescrits sans réels besoin, et leur administration excessive.

 

M.Hervé Féron attire l’attention de Monsieur le Ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des Finances, chargé de l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation sur l’avis récent de la Commission de la sécurité des consommateurs sur les détecteurs de monoxyde de carbone. Selon cette dernière, il reste un grand nombre de détecteurs défaillants sur le marché car ils peuvent être mis en vente et porter le marquage CE sans que ses performances aient été vérifiées. Ces matériels destinés à sauver des vies ne doivent répondre qu’à une directive sur les caractéristiques électriques, en aucun cas prouver leur capacité à alerter sur des concentrations excessives de monoxyde de carbone. Aussi et compte tenu de ce constat, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu’elle compte prendre pour que ces matériels soient soumis à la même réglementation que les détecteurs de fumée, qui doivent, eux, prouver leur aptitude à signaler les départs de feu.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de Madame la Ministre de l'Enseignement Supérieur sur une étude réalisée par un syndicat d'internes qui se montre critique à l'encontre de la formation des futurs médecins. Légalement, les internes doivent disposer de deux demi-journées de formation théorique par semaine, en plus de la pratique clinique effectuée dans les services hospitaliers. Dans les faits, seulement 50% ont la possibilité de les prendre. Et en moyenne, 18 demi-journées par semestre sont prises sur les 54 obligatoires. Plus d'un tiers des internes interrogés disent ne pas avoir été libérés de leur stage ; ils "sont devenus indispensables pour faire tourner les services, cela se fait au dépend de la formation", déplore Emmanuel Loeb, président de l'Isni qui veut "sanctuariser les deux demi-journées de formation obligatoire". Le contenu des cours est aussi incriminé par l'étude. De plus en plus d'internes complètent leur formation de base, le DES, par des formations ad-hoc car près de la moitié la juge insuffisante. Les formations complémentaires sont ainsi devenues "obligatoires" pour valider leur formation selon près de 20% d'entre eux. Il lui demande donc de bien vouloir préciser les pistes de réflexions qui sont les siennes en la matière.

 

Pourquoi appelle-t-on ça un Livre Blanc ?

André Rossinot a fait travailler les services de la Communauté Urbaine pour écrire ce qu’il appelle un « Livre Blanc » qui est un véritable réquisitoire contre le Maire de Tomblaine. Il avait annoncé ce « Livre Blanc », il l’a diffusé sur son site de campagne, il a demandé à ses bons petits soldats de l’opposition de Tomblaine de diffuser ça sur leur site de campagne et voilà que quelques Tomblainois ont reçu la version papier dans leur boîte aux lettres. Un certain nombre de questions se posent :

- Pourquoi appeler ça un Livre Blanc, la méthode et l’acidité du propos nous rappelant plus des heures sombres de l’Histoire ?

- Combien de temps des employés communautaires ont-ils donné pour fournir l’argumentaire à André Rossinot ? Combien cela a-t-il coûté en argent public ?

- Pourquoi André Rossinot n’a-t-il pas le courage de signer ce qu’il appelle le Livre Blanc du Grand Nancy à Tomblaine ?

- Que pensez-vous d’un document en tirage papier qui soit diffusé sur la voie publique sans aucune mention légale, dont on ne sait pas quel est l’imprimeur et avec quel argent il a été dupliqué ?

Mais la question essentielle reste :

- Pourquoi André Rossinot a-t-il réalisé ce Livre Blanc sur Tomblaine et pourquoi ne l’a-t-il pas fait pour les autres communes ?

C’est simple : André Rossinot s’énerve de plus en plus, il sait qu’Hervé Féron peut devenir le Président de la Communauté Urbaine, il sait qu’Hervé Féron pose des questions qui le dérangent et auxquelles il ne veut pas répondre, il est donc agressif.

 

L’Est Républicain a eu la correction de ne pas diffuser le contenu de ce Livre Blanc. C’est un tissu de mensonges, d’exagérations, de détournements de la vérité, c’est un cahier à charge contre le Maire de Tomblaine. André Rossinot voudrait y faire croire que le Maire de Tomblaine n’est pas très présent. A qui voudrait-il faire croire cela ? Aux Tomblainoises et aux Tomblainois ? Réponse dimanche soir après le dépouillement. Les Tomblainoises et les Tomblainois connaissent bien Hervé Féron, ils savent qu’il est présent, disponible pour tous et sans exception. Les Grands Nancéiens connaissent bien Hervé Féron aussi puisqu’il est le seul homme politique à pouvoir dire qu’il a été député de 18 communes sur les 20 de l’agglomération nancéienne, on ne les trompera pas non plus. Et c’est ça qui est peut-être le plus drôle, c’est que la bande des Rossinot, Hénart, Debord, Morano, en charcutant la circonscription d’Hervé Féron pour tenter de le faire perdre, de le faire disparaître de la scène politique, lui ont donné la possibilité après avoir remporté une belle victoire d’étendre son territoire d’influence. Ils lui ont permis de se préparer à devenir le Président de la Communauté Urbaine et les Grands Nancéiens le savent bien.

Si Mathieu Klein gagne les élections municipales à Nancy, si Hervé Féron devient Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, ensemble puisque Mathieu Klein sera le Premier Vice-Président, ils feront en sorte que chacun puisse avoir sa place et toute sa place sur l’ensemble du territoire de la Communauté Urbaine. Les habitants, les citoyens, les élus auront la parole. C’est une autre méthode qui vous sera proposée. Aujourd’hui, la qualité du débat est à ce niveau-là, c’est pourquoi il n’est pas souhaitable d’apporter la moindre réponse à ce triste Livre Blanc.

 

Information aux employés de la Communauté Urbaine du Grand Nancy

La campagne fait rage et André Rossinot est malveillant à mon égard. Il propage régulièrement des rumeurs infondées. Ainsi, il vous a été dit que si je devenais Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, je supprimerais les heures supplémentaires en argumentant sur le fait qu’à Tomblaine, il n’y aurait pas d’heures supplémentaires.

C’est un mensonge, je n’ai pas l’intention de supprimer les heures supplémentaires à la Communauté Urbaine, je n’ai jamais eu cette idée, je n’en ai d’ailleurs jamais parlé et personne n’est habilité à m’attribuer cette intention. A Tomblaine, les employés communaux ont effectivement très peu d’heures supplémentaires mais on le sait, on progresse plus rapidement en avancement à Tomblaine qu’à la Communauté Urbaine ou qu’à la Ville de Nancy. Il faut comparer ce qui est comparable, la Ville de Tomblaine n’est pas à la taille, ni de la Communauté Urbaine, ni de la Ville de Nancy, les budgets ne sont pas à comparer. A Tomblaine, il faut beaucoup d’employés communaux pour donner beaucoup de services publics à une population majoritairement pauvre alors que dans le même temps, les recettes sont insuffisantes puisqu’André Rossinot a empêché depuis très longtemps les entreprises de s’installer à Tomblaine.

Si je suis Président de la Communauté Urbaine, vous n’aurez pas de mauvaise surprise, je défendrai vos acquis et je me comporterai comme je me suis toujours comporté en maire de Tomblaine, avec le plus grand respect des fonctionnaires. Il n’est pas question de remettre en cause ni le régime indemnitaire, ni les congés, ni les heures supplémentaires. Je suis Député d’une majorité qui a supprimé le jour de carence pour les agents publics qu’avait instauré la précédente majorité dans laquelle Laurent Hénart était Député. C’est la majorité à laquelle j’appartiens qui a revalorisé le traitement des personnels de catégorie C. Je pense et je le dis très souvent que les fonctionnaires aujourd’hui ne sont pas assez reconnus et je prioriserai toujours la valorisation des compétences.

 

Mathieu Klein, mobilisation maximale jusqu’au soir du deuxième tour

Mathieu Klein et la liste qu’il conduit pour devenir le Maire de Nancy organisaient hier mercredi 19 mars un grand rassemblement à la salle des fêtes de Gentilly. C’est un énorme succès, preuve d’une mobilisation massive, et porteur d’un grand espoir. Mathieu Klein a pris la parole devant un public enthousiaste, nombreux, en présence de Dominique Gros, Maire de Metz, qui, en pleine campagne municipale, avait fait le déplacement pour apporter tout son soutien à Mathieu Klein, c’est un signe, c’est révélateur, Jean-Pierre Masseret, Président du Conseil Régional, Michel Dinet, Président du Conseil Général, Chaynesse Khirouni, Députée, Hervé Féron, Député-Maire de Tomblaine et candidat à la Présidence de la Communauté Urbaine. Tous étaient là et lorsque Mathieu Klein annonce un projet fédérateur dans la ville, dans le département, dans la région, il a à ses côtés tous les partenaires pour engager la dynamique qui fera de Nancy une ville meilleure. Ça sent la gagne, mais il ne faut pas baisser les bras. Vous habitez Nancy, vous votez à Nancy, si vous n’habitez pas Nancy, vous y avez sûrement des connaissances, des amis, dites-le, faites-le savoir. Ce dimanche 23 mars, dès le premier tour, votez et faites voter massivement Mathieu Klein.

 

Rassemblement autour de Mathieu Klein 

 

La matinée de Mathieu Klein et d'Hervé Féron

Ce lundi matin à 8h15, Mathieu Klein, candidat aux prochaines municipales à Nancy, et Hervé Féron, candidat à la Présidence de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, se sont entretenus avec les représentants de l’association LICOPAFOGN au sujet de l'absence des grands Fournisseurs d'Accès Internet sur le réseau Très Haut Débit développé par la CUGN dans les huit communes les moins bien desservies de l'agglomération.

L'association LICOPAFOGN a rappelé que quelques petits opérateurs se sont positionnés mais à des tarifs plus onéreux et avec des services plus limités. Cette situation qui nuit à la liberté de choix des habitants résulte des conditions imposées à la société Tutor, gestionnaire du réseau, conditions qu'il conviendra de réexaminer dans le cadre de la procédure de renouvellement du contrat d'affermage lancée récemment par la CUGN.

Puis à 9h, Mathieu Klein et Hervé Féron avaient convié les acteurs de la culture dans l’agglomération à un petit-déjeuner convivial afin d’aborder leurs propositions dans ce domaine ainsi que d’échanger sur les difficultés et les besoins des artistes.

C’était une réunion constructive, introduite par Bertrand Masson, conseiller régional, dans la continuité de la concertation déjà engagée, montrant l’importance que revêt la culture pour la Gauche qui souhaite redonner au territoire nancéien la place qu’elle occupait autrefois dans le monde culturel.

Tour à tour, Hervé Féron et Mathieu Klein ont exposé leurs propositions et ont répondu aux questions des nombreux participants.

 

 

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami

 

 

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Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris

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