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Un cumul nécessaire

Le Monde publie dans son édition d'aujourd'hui une tribune très intéressante de Patrick WEIL, chercheur au CNRS, sur la nécessité du cumul des mandats dans notre système institutionnel, afin de favoriser un équilibre des pouvoirs entre l'exécutif et le législatif.

Vous pouvez retrouvez l'intégralité de l'article ci-dessous.



Il faut cumuler les mandats politiques ! (Le Monde, 20 février 2013)


Supprimer le cumul des mandats, la clameur monte des rangs socialistes, d'un parti composé d'élus, mais aussi d'aspirants à être élus qui attendent de la réforme plus de places en partage. Evidemment cette mesure est populaire dans l'opinion. Elle l'est moins chez certains parlementaires qui semblent faire de la résistance. Et s'ils avaient raison ?

Car la principale conséquence de l'interdiction faite aux parlementaires de cumuler des mandats exécutifs locaux serait de renforcer encore les pouvoirs du président de la République.

Il n'existe aucune autre grande démocratie dans laquelle un chef de l'exécutif a autant de pouvoirs que le président de la Ve République. Elu, il est inamovible pour la durée de son mandat. Il a en revanche le droit de dissoudre l'Assemblée nationale. Il nomme aux plus hautes fonctions de l'Etat. Il a, par l'intermédiaire du gouvernement, l'initiative de la plupart des lois et d'irrésistibles moyens de pression pour les faire voter au cas où le Parlement résisterait à les adopter.

Jusqu'en 2000, cependant, le président vivait dans une certaine incertitude. Ses pouvoirs pouvaient se trouver subitement réduits si les citoyens français élisaient à l'Assemblée nationale une majorité qui ne partageait pas ses options politiques.


RÉDUIRE LE RISQUE DE COHABITATION

A trois reprises, en 1986-1988, puis 1993-1995, mais surtout entre 1997 et 2002 avec Lionel Jospin, les Français ont expérimenté avec la cohabitation combien la Ve République pouvait être aussi parlementaire et fonctionner autour d'un premier ministre dirigeant un travail d'équipe, en la présence vigilante d'un président de bord opposé.

Hélas, à l'initiative de Lionel Jospin lui-même, les durées des mandats du président et des députés ont été alignées à cinq ans, et l'ordre des élections inversé, afin que l'élection présidentielle intervienne avant l'élection des députés. L'objectif était de réduire - voire de supprimer - le risque, insupportable pour les responsables des partis, de nouvelles cohabitations. Le principal résultat a été d'accentuer encore la concentration et la confusion des pouvoirs entre les mains du chef de l'Etat.

Les députés de la majorité, dorénavant élus dans la foulée du président, sur son programme et pour la durée de son mandat, sont rééligibles avec lui et plus que jamais auparavant dans sa directe dépendance.

Parmi ces députés, cependant, certains sont maires, présidents de conseils général ou régional. Ils représentent un atout pour leur commune, leur département ou leur région dans la mesure où ils peuvent mieux plaider leur cause à Paris. Mais ils sont aussi un atout pour notre démocratie. Leur statut d'élu ne dépend pas en effet que du seul mandat parlementaire. Face au pouvoir exécutif, ils sont donc plus puissants et plus indépendants que ceux de leurs collègues qui ne sont "que" parlementaires.


IMPOSER AUX PARTIS POLITIQUES LA TRANSPARENCE

L'exception française du cumul des mandats est donc une réponse, imparfaite certes, mais un incontestable contrepoids à l'exception française du cumul des pouvoirs, de la concentration extrême des pouvoirs entre les mains du président de la République. Il ne faut donc pas interdire le cumul des mandats sans réduire en parallèle les pouvoirs du président et rééquilibrer nos institutions.

On pourrait restreindre drastiquement le droit de dissolution et ne le réserver qu'aux situations où aucun gouvernement ne trouve de majorité à l'Assemblée nationale, supprimer la possibilité pour le gouvernement d'engager sa responsabilité pour forcer l'adoption d'une loi. On pourrait imposer aux partis politiques, dorénavant financés principalement par l'argent des électeurs, transparence et intégrité dans la désignation de leurs dirigeants et de leurs candidats aux élections. On devrait aussi recréer un décalage entre durée des mandats présidentiel et parlementaire comme cela existe partout ailleurs, soit que le mandat des députés redevienne plus court que celui du président, soit, à l'inverse, que le mandat du président soit plus court que celui des députés.

Enfin, on pourrait se demander si, pour une ville grande ou moyenne, le danger n'est pas moins le cumul des mandats que la possibilité illimitée de se représenter vingt ans, trente ans, quarante ans et de vieillir avec sa ville jusqu'à la faire mourir.

Mais, puisque, en fin de compte, il n'est proposé, avec la seule interdiction du cumul des mandats, que d'augmenter encore les pouvoirs du président de la République, les parlementaires qui s'opposent à cette interdiction ont raison. Dans une République qui n'est plus structurée qu'autour de chefs, il vaut mieux en avoir plusieurs, un chef national et de vrais chefs locaux ou régionaux, capables de lui résister et de l'affronter, plutôt qu'un seul qui, de Paris, régnerait sur une France arasée.

En attendant une vraie réforme de nos institutions, il faut donc conserver le cumul des mandats.

Patrick Weil, historien et politologue, directeur de recherche au CNRS

Le modèle social français : un système préservé par le Gouvernement

Jean-Marc Ayrault ce matin en réunion du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale a clairement précisé que "l'objectif annoncé : zéro déficit à la fin du mandat reste prioritaire, mais, il ne faut pas craindre des réformes qui n'ont jamais été envisagées, tout a été annoncé à la conférence sociale du mois de juillet, rien d'autre n'est envisagé. Contrairement à Nicolas Sarkozy, nous ne remettrons pas en cause le modèle social français. Il n'est pas question de toucher aux Allocations Familiales ! Bien sûr, la Cour des Comptes a fait des préconisations, mais la Cour des Comptes n'est pas le Gouvernement !"

Jean-Marc Ayrault a rappelé aussi que la Cour des Comptes a précisé qu'en six mois ce Gouvernement a redressé les comptes publics comme jamais cela n'a été fait.

Hervé FERON

Hervé FERON interpelle le Ministre de l'Intérieur sur le droit au séjour pour raisons médicales

François HOLLANDE avait évoqué au cours de la campagne présidentielle la nécessité de revenir sur la loi limitant le droit au séjour pour raisons médicales. Hervé FERON adresse aujourd'hui une question écrite au Ministre de l'Intérieur afin de connaître les intentions du Gouvernement à ce sujet.


La question écrite adressée à Manuel VALLS :

Monsieur Hervé FERON interroge Monsieur le Ministre de l’Intérieur sur le droit au séjour pour raisons médicales. Cette volonté exprimée dans le milieu associatif dès le début des années 1990 s’est concrétisée par la loi Chevènement de 1998. Elle permettait alors la délivrance de plein droit d’une carte de séjour temporaire aux étrangers résidant habituellement en France, atteints d’une pathologie grave et ne pouvant accéder au traitement approprié dans leur pays d’origine, afin qu’ils puissent bénéficier des soins nécessaires sur le territoire national. Cette possibilité, essentielle pour les personnes atteintes de pathologies chroniques comme le SIDA ou les hépatites, a été remise en cause par la loi du 16 juin 2011 relative à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité. Le projet prévoyait de substituer l’indisponibilité des soins dans le pays d’origine à leur inaccessibilité comme condition de délivrance d’une autorisation de séjour. Malgré l’opposition citoyenne qui s’était exprimée de la part des associations et des professionnels de santé, cette disposition a été actée par le Parlement. Ainsi, l’existence d’un traitement dans ces pays même en nombre insuffisant ou pour un coût exorbitant et inabordable aux citoyens ordinaires suffit désormais à justifier le refus de titre de séjour et l’expulsion des personnes concernées du territoire français. Le Président de la République s’était engagé au mois de mars 2012 à revenir sur cette disposition qu’il jugeait alors à juste titre « hypocrite », néanmoins les expulsions continuent à l’heure actuelle, exposant de nombreux étrangers aux complications terribles engendrées par ces maladies et les abandonnant à moyen terme à un funeste destin. Il lui demande donc de bien vouloir préciser les intentions du Gouvernement quant au rétablissement rapide d’un véritable droit au séjour pour raisons médicales dans le respect de la longue tradition humaniste française.

Soutien entier à Dominique POTIER

Dominique POTIER fait partie des 5 députés socialistes qui se sont abstenus sur le projet de loi pour le mariage pour tous. Et alors ? Où est le problème ?


Une poignée d’apparatchiks et quelques «observateurs » vont s’acharner sur lui. Je pense que ces gens-là ont tort ou alors est-ce que cela signifierait que dans ce pays on considère que les députés ne sont plus libres de leur vote ?

Très clairement, je désapprouve le vote de Dominique POTIER. Très clairement, je désapprouve et n’aime pas qu’il revendique ses convictions catholiques sociales, car je pense que ces éléments-là sont de l’ordre du privé. Il est élu de la République et ses convictions philosophiques ou religieuses personnelles n’ont pas à être revendiquées par un élu de la République, alors que le principe même de Laïcité est inscrit dans le préambule de la Constitution.

Par contre, je ne suis pas choqué du tout par le fait qu’un député de quel que parti que ce soit, et surtout quand il est au Parti socialiste, puisse voter en différence avec la consigne de vote donnée parce qu’il vote en son âme et conscience. Dans ce cas précis, Dominique POTIER s’est contenté de s’abstenir de façon très responsable puisqu’il savait très bien que le vote socialiste serait très majoritaire et que ce ne sont pas 5 abstentions dans le camp socialiste qui allaient bouleverser le monde ou remettre en cause fondamentalement les débats de qualité auxquels il a d’ailleurs participé activement. Alors on peut toujours discuter sur le vote, sur son vote et j’affirme que je suis en désaccord avec lui. J’ai voté pour le mariage pour tous, j’en suis fier, je le revendique. Mais par contre, ne remettez pas en cause l’homme. Je connais bien Dominique POTIER, c’est un mec bien, il a mon amitié, mon estime et mon soutien.

Le Parti Socialiste qui montre l'exemple en s'ouvrant à la diversité doit accepter aussi que dans ses propres rangs, chez ses propres élus, il y ait ponctuellement des différences philosophiques, voire politiques...

En d’autres temps, Chaynesse KHIROUNI n’avait pas souhaité voter le pacte budgétaire, je désapprouvais ce choix de Chaynesse, je ne l'ai pas commenté. J’ai surtout été irrité, à l'époque, quand dans la presse elle a cru bon se valoriser en disant qu’elle "n’était pas un béni-oui-oui". Beaucoup de députés ont pensé comme moi : j’ai suffisamment de caractère pour me démarquer, avec courage, quand il le faut. Mais ce n’est pas parce que je vote comme la majorité de mon parti et que je suis d'accord avec la majorité de mon parti que je deviens pour autant un béni-oui-oui. Ce sont des expressions malheureuses que l’on n’utilise pour ses adversaires, pas pour ses amis. Cela dit, je n’ai pas pour autant pensé à l’époque qu’il fallait remettre en cause Chaynesse KHIROUNI et je ne l'ai pas souhaité.

Le député est d'abord un citoyen éclairé, avant que de prendre sa carte au parti, il est un homme libre. Sa parole doit rester libre, son vote doit rester libre, contre les vents et marées de la pression populiste émergente !

J’ai été moi-même très blessé quand quelques apparatchiks m’ont agressé avec insistance sur ma position quant au non-cumul des mandats. J’assume mes responsabilités, tout en étant élu du peuple, je n’en reste pas moins un homme libre. Le parti est important pour construire collectivement des idées, pour les porter stratégiquement ensemble, la solidarité doit y être privilégiée, mais il y a un moment où le parti ne doit pas être trop pesant car alors il devient liberticide. D'ailleurs, je n'ai entendu PERSONNE dans le groupe socialiste à l'Assemblée reprocher quoi que ce soit à Dominique Potier...

Tout le reste ne serait-il pas que bavardages inutiles ?


Je renouvelle tout mon soutien et mon amitié à Dominique POTIER et je continue à penser que ça n’est pas parce qu’il craignait le vote de Dominique POTIER que le Pape a démissionné (lol).

Hervé FERON

Rencontre avec le Ministre de l'Intérieur, Manuel VALLS

Bonjour à tous du Ministère de l'Intérieur !


Hervé FERON avec Manuel VALLS au Ministère de l'Intérieur

A propos du mariage pour tous

Je suis un peu fatigué d’entendre jusque très tard dans l’hémicycle la psychanalyse, la famille ou encore la morale prises en otage. Le débat n’est pas un débat, c’est une opération d’obstruction systématique pour ne pas dire une opération obscurantiste. A propos de la psychanalyse et de la famille d’ailleurs, je vous propose ces quelques lignes que j’ai trouvées sur l’excellent site de Jean Mirguet.

 

 

Un nouvel usage du père :

 

On connaît l’aphorisme provocateur de Lacan : « Il n’y a pas de rapport sexuel », formule emblématique d’une impossible jouissance et d’une chimérique complémentarité homme - femme, voués à ne jamais s’entendre, ce pourquoi la plupart d’entre eux passent leur vie à se chercher ... et, quelquefois, à se rencontrer. Le sujet, dans l'acte sexuel, ne rencontre ni l'objet de son désir que l'autre paraît représenter pour lui, ni la complétude qu'il escompte d'une telle expérience.

Dans un post récent, à propos du mariage pour tous, publié par une association de psychologues orientés par les hypothèses de Freud et Lacan, on peut lire que les psychanalystes qui auraient l’idée farfelue qu’il leur faudrait avoir tous le même avis sur la très actuelle question du mariage pour tous, valable pour toute la planète psy, feraient mieux de se taire. Aussi jugent-ils fâcheux, à juste titre, l’utilisation qui est faite du savoir psychanalytique pour cautionner, dans les polémiques, les thèses opposées au projet de loi. Combattre le mariage pour tous au nom du critère de la différence naturelle des sexes est une billevesée et ne vaut pas mieux que débiter des coquecigrues puisque s’il n’y a pas d’appariement naturel entre elle et lui, ils sont destinés à rester des désassortis et à ne s’associer que par le fantasme : il n’y a pas de rapport sexuel.

Les psychanalystes opposés au mariage pour tous restent pour la plupart d’entre eux arc-boutés sur le sacro-saint Œdipe, soutien d’une conception normative et harmonieuse de la famille, alors que tout l’enseignement de Lacan engage sur la voie consistant à prendre du champ par rapport à ce qui est devenu une idéologie oedipienne (cf. la teneur des débats dans lesquels H. Guaino et d’autres se font les pourfendeurs du projet de loi).

Endossant son habit de père la malice, Lacan affirmera qu’est hétérosexuel celui ou celle qui aime les femmes : les femmes sont toujours autres, fut-ce pour elles-mêmes. De quoi donner des boutons aux militants de la république oedipienne fondée sur le règne éternel du père, à partir d’une vision psychologisante de la famille (avec laquelle la psychanalyse n’a pas grand-chose à voir même si certains psychanalystes médiatiques ont pris leur part dans cette dérive).

Considérant que les psychanalystes n’étaient pas plus les détenteurs des clés de la normalité que de celles de l’anormalité, Lacan a, sans relâche, bouleversé cette vision oedipienne de la psychanalyse en prédisant le déclin de l’Oedipe dans nos sociétés. Il a toujours insisté sur le fait que l’ordre symbolique – dont on fait un usage psychologisant à l’occasion de ce débat - n’était en rien une norme et que chaque sujet s’y rapportait de façon singulière. C’est ainsi que ce qu’on appelle la carence paternelle n’est pas directement liée à l’absence de la personne du père puisqu’un Oedipe peut tout à fait se constituer sans la personne du père. Le père est une fonction qui, certes, doit être incarnée, mais qu’il faut dissocier de sa personne réelle.

Avec l’homoparentalité, s’offre un nouveau scénario : la fonction maternelle n’est plus forcément attribuée à la femme, et la fonction paternelle à l’homme. La fonction parentale est dissociée du biologique, au moins pour l’un des deux parents, et de surcroît il y a lieu de distinguer différence des sexes et parentalité.

La sacro-sainte fonction paternelle soit, dans le jargon des psychanalystes, le rapport du désir à la loi, peut-elle fonctionner si la répartition père-mère ne coïncide pas toujours avec la stricte différence homme-femme ? Il semble bien que oui si l’on en juge par les études portant sur les familles homoparentales où les enfants peuvent trouver, ni mieux ni moins bien que dans les familles hétéroparentales, les identifications qui leur sont nécessaires.

Dans ces conditions, que faire du père ?  Dans une de ses  saillies fulgurantes dont il avait le secret, ce que nous propose Lacan, c’est de s’en servir ... pour s’en passer. A suivre ...

Communiqué du Ministère de l'Education Nationale

A leur demande, les élu(e)s socialistes de la région Lorraine ont été reçus vendredi 25 janvier par Vincent PEILLON, ministre de l’éducation nationale afin d’évoquer les conditions de préparation de la rentrée 2013 de l’académie de Nancy-Metz.

 

La logique purement comptable qui prévalait les années précédentes aurait conduit à supprimer plus de 600 postes pour cette rentrée. Afin de maintenir les taux d’encadrement actuels, supérieurs à la moyenne nationale, et de garantir les mêmes conditions d’enseignement, il a été décidé de n’envisager que 76 suppressions de poste malgré la diminution de plus de 1 300 élèves dont près de 1 000 pour le premier degré.

Au cours de cette rencontre, il est apparu que les départements des Vosges et surtout de la Moselle, étaient particulièrement concernés par la baisse démographique et par les retraits d’emplois dans le premier degré, l’effort consenti par le ministère permettant de maintenir les postes existants en Meurthe-et-Moselle. En lien avec le rectorat et dans un souci de concertation avec les élus locaux, un effort supplémentaire de 15 postes permettra de faciliter la mise en place du dispositif du « plus de maîtres que de classes » pour la prochaine rentrée dans les secteurs les plus fragiles socialement et scolairement, notamment en Moselle. Ces postes permettront de mener des expérimentations pédagogiques visant à améliorer les résultats des élèves.

Pour l’enseignement en lycées, c’est l’objectif d’une convention pluriannuelle avec la région et le rectorat qui doit être envisagé. La logique de moyen terme est en effet la mieux adaptée et doit permettre de faire évoluer le réseau des établissements et la carte des formations pour mieux répondre aux besoins des jeunes et à leur insertion professionnelle.

Le développement du numérique à l’école et le renforcement des classes bilingues dans le prolongement de la charte signée lors du cinquantenaire du Traité de l’Elysée constituent également des priorités.

Le Ministère de l’éducation nationale entend ainsi pérenniser et conforter les efforts entrepris depuis plusieurs années par les élu(e)s socialistes de la région Lorraine en faveur de l’éducation. Au-delà des 15 postes supplémentaires qui doivent améliorer les résultats des élèves du premier degré scolarisés dans les zones les plus difficiles, c’est le souci du développement futur d’une offre éducative et de formation adaptée que doit assurer le principe de cette convention pluriannuelle.

Ne croyez pas toujours ce qui est écrit...

A la lecture d’un article aujourd’hui dans l’Est Républicain, vous pourriez croire que le journaliste est bien intentionné et veut valoriser une visite de Chaynesse Khirouni à Vincent Peillon. Mais de façon évidente, il s’agit pour lui de me donner un coup de griffe pour expliquer que des « représentants d’enseignants n’auraient pas pu être reçus à ma permanence ». Alors voilà mon avis là-dessus.

  1. Ce journaliste ferait mieux de s’informer correctement : sachez par exemple qu’il n’a jamais diffusé le moindre mot des communiqués de presse que je transmets à l’Est Républicain régulièrement, et en particulier en ce qui concerne mon action pour l’Education Nationale.
  2. En ce qui concerne ces représentants d’enseignants qui seraient, si je comprends bien, du SNUIPP, j’aurais apprécié qu’ils soient aussi virulents sous Nicolas Sarkozy quand l’école publique était démantelée. A cette époque-là, je ne les ai pas beaucoup entendus. Quelles sont donc aujourd’hui leurs intentions véritables ?
  3. Si ces personnes ont souhaité me rencontrer à ma permanence un mercredi, vous ne me ferez pas croire qu’elles ignoraient que le mercredi le député est à l’Assemblée Nationale.
  4. Je me suis toujours engagé pour défendre les conditions de travail des enseignants, l’Ecole de la République, les droits de l’enfant. Ce journaliste et ces quelques enseignants le savent pertinemment. J’ai toujours été en première ligne pour empêcher des suppressions de postes, pour défendre les RASED, pour interpeller les ministres successifs et aujourd’hui, Vincent Peillon. Le problème, c’est que ces gens-là ne veulent pas le savoir.
  5. Mais vous ne pouvez pas l’ignorer puisque vous êtes des lecteurs assidus de mon blog. Alors je vous invite à le consulter, et vous verrez qu’encore récemment j’ai écrit plusieurs fois au Ministre, j’ai posé des Questions Ecrites, j’ai rencontré le Ministre (la dernière fois c’était hier matin, mais ça, vous ne le verrez pas dans l’Est Républicain). Les parents d’élèves eux le savent bien puisque, voyez plutôt ci-dessous, les parents d’élèves du collège Georges Chepfer de Villers-lès-Nancy m’adressaient un courrier pour me remercier et reconnaître que c’était sur mon intervention insistante qu’une classe bilangue avait été rouverte. Sur les suppressions de postes dans l’Académie Nancy-Metz, bien évidemment j’ai fait savoir au Ministre que ça n’était pas acceptable, mais s’il y avait un peu d’honnêteté dans la démarche de ces gens-là, il serait précisé dans l’article du journal qu’en Meurthe-et-Moselle, il est prévu… 0 suppression de postes ! J’ai relancé à plusieurs reprises le Ministre sur la nécessité de postes de RASED à créer, en particulier sur Heillecourt, et celui-ci m’a laissé de bons espoirs. Je continue à jouer mon rôle de Député en m’efforçant de le faire le mieux possible, malgré l’adversité, représentée par ces personnes de mauvaise foi. Si vous souhaitez de vraies informations, je vous invite à consulter mon blog (qui vient de dépasser les 530 000 visites) le plus souvent possible et à le faire savoir autour de vous.

Hervé FERON

Petit reportage sur une journée à Berlin

J’ai eu la chance de participer à un grand moment qui restera historique et symbolique. Je garde cependant un avis critique que je souhaite partager avec vous. Il me semble que cet événement était nécessaire bien que son organisation ait été certainement trop coûteuse en temps de crise, de souffrances et de précarité des peuples qui regardent ébahis leurs puissants célébrer la solidarité européenne et l’amitié entre les peuples. Au final : une succession de prises de parole souvent insipides où la constance est la redite. Des interventions brillantes d’Angela MERKEL et de François HOLLANDE, puis de longues interventions peu utiles de tous les présidents des groupes des deux Assemblées où chacun essaie d’exister et vit là son heure de gloire. Que de portes ouvertes enfoncées ! Le pire dans l’exercice a été Jean-Louis BORLOO, autant dans la forme que sur le fond, j’ai trouvé son intervention presque grotesque, l’histoire d’un looser qui se dit « je vais leur montrer que j’aurai pu être le Président ». Les grands moments ont été bien sûr la visite du Bundestag (le Parlement allemand). Le Bundestag est situé juste à côté du Bundesrat (le Sénat allemand). Outre l’aspect réception fastueuse, les temps forts auront été les prises de parole des deux chefs d’Etat, la Marseillaise entonnée par les allemands et les français suivis de l’hymne allemand et de l’hymne européen, puis le Philharmonique de Berlin, une salle extraordinaire et une grande émotion au moment de ce concert de qualité où nous avons entendu Saint-Saëns et Beethoven. Vous trouverez ci-dessous un petit reportage photo pour vous faire partager mon émotion.

Enfin, je voudrais vous relater un incident. Juste avant de décoller à Orly, l’avion s’était déjà positionné sur le tarmac, deux sièges derrière moi, le député socialiste Philippe KEMEL (c’est lui qui avait battu Marine Le Pen) a été pris d’un malaise. Apparemment, malaise vagal mais peut-être plus grave encore. L’avion est donc allé se ranger sur le parking et un appel au micro a été fait « Y a-t-il un  médecin dans l’avion ? ». Le problème, c’est que chez les députés, les médecins sont légion. Ils se sont donc agglutinés nombreux pour apporter leur docte diagnostic… L’autre problème, c’est que ces médecins députés n’ont en général plus vu un malade depuis 15 ans ! Bon, finalement notre collègue va mieux et c’est tant mieux. Je lui souhaite sincèrement une meilleure santé. Il a fini par être évacué quand le brancard a réussi à se frayer un passage au milieu des médecins agglutinés. La prochaine fois, je suggère que la jolie jeune femme militaire demande au micro : « Y a-t-il un médecin en capacité d’exercer dans cet avion ? ».



Reportage photo à Berlin :


Le Reichstag Le Reichstag

     Le Reichstag

Le Bundestag

 

L'hémicycle du Reichstag Hervé FERON dans le Bundestag

L'hémicycle dans lequel s'est tenu le sommet
                       Petit souvenir                     


Visite du Reichstag Visite du Reichstag

Visite du Reichstag Visite du Reichstag

Visite du Reichstag Visite du Reichstag

Visite du Reichstag Visite du Reichstag

   Visite du Reichstag

Je vous propose une petite visite à l'intérieur du Bundestag


A table ! A table !

   A table !

A table ! A table !

Nous étions plusieurs à table


Salle du sommet Salle du sommet

Dans la salle où a eu lieu le sommet


Salle du sommet Salle du sommet

Au début, tout se passe bien


François HOLLANDE prononce son discours François HOLLANDE prononce son discours

François HOLLANDE prononce son discours devant les responsables allemands et français réunis


Laurent FABIUS pendant le discours de François HOLLANDE Laurent FABIUS pendant le discours de François HOLLANDE

Petite sieste de Laurent FABIUS

pendant le discours de François HOLLANDE

               La sieste se prolonge              


Discours d'Angela MERKEL Discours d'Angela MERKEL

Angela MERKEL s'adresse aux responsables politiques allemands et français


Le Ministre des Finances allemand durant le discours d'Angela MERKEL Laurent FABIUS pendant le discours de François HOLLANDE

Grosse sieste du Ministre des Finances allemand pendant le discours d'Angela MERKEL

                          Petite berceuse de nuit ?                                                          

La coupole du Reichstag Pierre MOSCOVICI assiste au célébration du 50ème anniversaire du Traité de l'Elysée

      La coupole vue d'en-dessous     

Mosco lit-il ses mails ou est-il atteint

du syndrome de Laurent FABIUS ?


Le Philharmonique de Berlin Le Philharmonique de Berlin

Le Philharmonique de Berlin Le Philharmonique de Berlin

Je vous propose maintenant une petite visite au Philharmonique de Berlin


    Le Philharmonique de Berlin

Je vous mets cette photo car aux petits fils très discrets sont suspendus de très petits micros, on est dans une salle incroyablement moderne mais tout est pensé pour le concert avec une qualité acoustique exceptionnelle


L'orgue du Philharmonique L'orgue du Philharmonique

Les tuyaux de l'orgue, majestueux et monumentaux, situés en hauteur côté cour

     L'orgue est lui positionné côté jardin, tout en      bois dans l'esprit de la salle



Christian ECKERT au Philharmonique Christian ECKERT au Philharmonique

Christian ECKERT n'a pas compris que le spectacle a lieu dans l'autre sens (lol)


Le Philharmonique de Berlin Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Le concert auquel nous avons assisté Le concert auquel nous avons assisté

Concert au Philharmonique de Berlin


Projection du drapeau français et du drapeau allemand sur les choristes Projection du drapeau français et du drapeau allemand sur les choristes

Projection du drapeau français et du drapeau allemand sur les choristes Projection du drapeau français et du drapeau allemand sur les choristes

   Projection du drapeau français et du drapeau allemand sur les choristes

Projection des drapeaux français et allemand sur les choristes


    Retour à Paris

Retour de nuit dans l'avion officiel



Hervé FERON ré-interpelle le Ministre de l’Education Nationale

Après avoir écrit à Vincent PEILLON, après avoir posé une question écrite, après avoir interpellé le Directeur Départemental de l’Education Nationale et avoir reçu de ce dernier une réponse que le député juge inacceptable, Hervé FERON demande à être reçu dès que possible par le Ministre de l’Education Nationale. Dans un courrier adressé hier au Ministre, le député rappelle qu’il lui a déjà  adressé une demande de ce type individuellement mais qu’il a également été cosignataire d’un courrier avec l’ensemble des élus lorrains pour rediscuter l’inacceptable suppression envisagée de 76 postes sur l’académie de Nancy-Metz, en rappelant que s’il en était ainsi, cette académie serait la seule de France en 2013 dans laquelle des postes seraient supprimés après avoir été 2 années de suite sous l’ère Sarkozy l’académie dans laquelle le plus grand nombre de postes auront été supprimés. La logique comptable qui était dénoncée lors du mandat présidentiel précédent est toute aussi inacceptable aujourd’hui, seul l’intérêt de l’enfant prévaut. Hervé FERON rappelle qu’il avait également dénoncé pendant sa campagne les suppressions de postes en RASED sur sa circonscription, 3 maîtres G sur 4 intervenant dans 16 écoles de sa circonscription avaient été ainsi supprimés par Luc Châtel. Il rappelle que dans cette deuxième circonscription, sous Nicolas SARKOZY, deux écoles plus 14 postes avaient été supprimés en un mandat présidentiel !

Aujourd’hui, il n’y a même plus de maître E dans le RASED des écoles d’Heillecourt. La réponse du Directeur Académique ne peut être entendue sur la base d’une politique progressiste pour laquelle Hervé FERON a fait campagne en annonçant le changement. Il faut donner des moyens à l’Ecole de la République sur tous les territoires. Hervé FERON souhaite rencontrer le Ministre sur ces sujets, tout comme sur l’aménagement du temps scolaire. Parce qu’il a confiance en la sensibilité du ministre, il a bon espoir de faire évoluer les choses.

Hervé FERON à Berlin pour les 50 ans du Traité de l'Elysée

Bonjour à tous de Berlin, je suis au Bundestag.


Hervé FERON à la célébration de l'anniversaire du Traité de l'Elysée à Berlin

Le Bundestag à Berlin

Hervé FERON dans le Bundestag

Hervé FERON dans le Bundestag

Déjeuner offert par le Président du Bundestag

Le discours de François HOLLANDE à Berlin


Laurent Fabius dort pendant le discours de François Hollande.

Le Gouvernement français assiste au discours de François HOLLANDE


Le ministre des finances allemand dort pendant le discours d'Angela Merkel.

Le Gouvernement allemand assiste au discours d'Angela MERKEL

L'agenda du député

Jeudi 17 à 12h30, Hervé FERON avec deux autres députés Sophie DESSUS et Hugues FOURAGE avait rendez-vous avec le Premier Ministre à Matignon.

Hervé FERON à l'issue de sa rencontre avec le Premier Ministre



Vendredi, une séance exceptionnelle avait été convoquée à 14h30 au Conseil de Communauté Urbaine à la demande du groupe de gauche. Hervé FERON au nom du groupe de gauche est intervenu. La seule chose qu’il faut retenir, c’est que des centaines de petits commerçants et petits artisans dont le chiffre d’affaires annuel est inférieur à 100.000€ ne peuvent pas (n’ont pas pu) payer leur Cotisation Foncière des Entreprises en 2012, car André ROSSINOT et sa majorité ont refusé de revenir dessus, alors que le gouvernement leur en donnait la possibilité. Pour cette tranche, la CFE à payer en 2013 sera minorée, mais rien pour la CFE à payer en 2012. Des centaines de petits commerçants et petits artisans sont dans une situation dramatique. André ROSSINOT en réponse n’a bredouillé que quelques phrases polémiques qui n’avaient rien à voir avec l’interpellation d’Hervé FERON. Quant à son vice-président Pierre BOILEAU, il a osé affirmer que ces petits commerçants ou artisans étaient ainsi imposés de 9€ de moins que l’année précédente ! Chacun jugera…



Vendredi toujours à 18h30, Hervé FERON assistait aux vœux de Pierre BAUMANN, conseiller général du canton de Villers-Laxou. Evelyne GAREAUX, député suppléante et conseillère régionale de Lorraine, était également présente. Pierre BAUMANN est un rassembleur, de nombreux invités avaient donc répondu à son invitation, le discours était fédérateur et l’ambiance conviviale…

Pierre BAUMANN adresse ses voeux à Laxou

Hervé FERON et sa suppléante Evelyne GAREAUX aux voeux de Pierre BAUMANN



Samedi 19 à 16h, à Ludres, le député a participé à l’issue d’une réunion de travail à la mise à l’honneur par ses amis de Michel BLUMENFELD. Michel est quelqu’un de généreux, qui participe activement à la vie associative et politique, tout en restant un homme discret. Il est apprécié de tous. En présence du conseiller général René MANGIN, Hervé FERON a remis à Michel BLUMENFELD la médaille de l’Assemblée Nationale avec la mention « à Michel Blumenfeld, pour son engagement citoyen ».

Dimanche, par une température très hivernale (!), Hervé FERON a participé au programme très dense mis en place par la commune de Laxou, Gérard BONNET le Président des Anciens des Forces Françaises en Allemagne et en Autriche 54, et Monsieur Albert PUSSINI, Président du Comité de Jumelage de Laxou. En présence de Pierre BAUMANN, conseiller général, Laurent GARCIA, maire de Laxou, et de Monsieur le Maire d’Heubach, ville allemande jumelée avec Laxou depuis… 1963 ! Il s’agissait bien sûr de célébrer l’anniversaire du Traité de l’Elysée, acte fondateur de la coopération franco-allemande et de l’amitié entre les deux peuples.

A 10h30, l’arbre du souvenir a été planté au parc d’agrément du Champ-le-Bœuf devant la stèle commémorant le jumelage entre les villes de Laxou et Heubach.

A 11h30, aux monuments aux morts Parc Pol Chôné, discours et dépôts de gerbes.

A 12h00, salle Louis Colin à Laxou-Provinces, remise de la médaille d’honneur du traité de l’Elysée et de la médaille du souvenir du 50ème anniversaire du Traité de l’Elysée à différentes personnalités.

L’ensemble de cette manifestation de qualité était parfaitement organisé, malgré les difficultés climatiques qui ont occasionné quelques défections.


Hervé FERON à la célébration de l'anniversaire du Traité de l'Elysée à Laxou

 Hervé FERON à la célébration de l'anniversaire du Traité de l'Elysée à Laxou



Ce lundi 21, Hervé FERON a rencontré à 10h, puis à 11h deux classes du Lycée Stanislas à Villers-lès-Nancy. Il a répondu aux questions des lycéens sur le rôle du député, le fonctionnement de l’Assemblée Nationale… Il a visité ensuite le Lycée avec son proviseur.

Hervé FERON répond aux questions des élèves du Lycée Stanislas à Villers



Mardi 22 avec tous les députés, Hervé FERON prendra tôt le matin l’avion pour aller à Berlin. Le parlement français rencontrera le parlement allemand dès le matin au Bundestag. Toute cette journée est bien sûr organisée à l’occasion du cinquantenaire du Traité de l’Elysée, avec au programme :

-          Visite du Bundestag.

-          Déjeuner.

-          Discours d’Angela MERKEL, François HOLLANDE, des présidents de chacun des parlements, des présidents des groupes.

-          A 16h, concert au Philharmonique de Berlin.

-          Retour à Paris le soir en avion.

Hervé FERON est bien évidemment très heureux et fier de participer à un tel événement, moment hautement symbolique et historique.

Mercredi 23, le député assistera aux vœux du Premier Ministre à Matignon.

La semaine du député

La tournée des vœux continue. Pour Hervé FERON, c’est un véritable marathon.

Mardi matin très tôt, départ pour Paris à l’Assemblée Nationale.

Retour le soir pour participer aux vœux très sympas de Pascal JACQUEMIN, maire de Villers.

 Hervé FERON assiste aux voeux du maire de Villers-lès-Nancy

 

Retour mercredi matin très tôt à Paris pour l’Assemblée Nationale, puis direction Nancy pour assister aux vœux très longs du maire de Jarville. Tout cela avec la neige.

Hervé FERON aux voeux du maire de Jarville


Jeudi matin, retour à Paris avec en particulier au menu une rencontre à Matignon avec le Premier Ministre.

Demain vendredi, Hervé FERON assistera aux vœux du conseiller général de Villers-Laxou Pierre BAUMANN à Laxou.

Les chiffres n’engagent que ceux qui s’en servent

Dans la presse d’aujourd’hui, il y a comme régulièrement un classement de l’activité des députés. Ces façons de présenter les choses sont toujours assez discutables.

Je note par exemple que je ne suis pas très bien classé sur les présences en commission. Or je crois avoir été présent à toutes les séances de ma commission depuis que je suis réélu, c’est donc assez surprenant.

Par ailleurs, ça ne figure pas dans l’article, mais sur les questions écrites aux Ministres j’étais premier sur 577 dans le précédent mandat et pour cette année, je suis premier député socialiste et 15ème sur 577 députés.

Mais ça, ça ne figure pas dans l’article.

 

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